Huit femmes
Datte: 24/12/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
vacances,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
fdanus,
uro,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... mes papilles. Pas du tout. C’est à peine salé, vaguement acide. Son pipi est moins corsé que celui de Colette. Il est vrai qu’elle a beaucoup bu. Je n’ose croiser d’autres regards pendant qu’elle se rhabille.
Ah ben non, ce n’était pas fini. Voici Bénédicte qui s’apprête à occuper la place toute chaude. Je la vois vraiment toute nue pour la première fois. Elle est rondelette, mais pas si mal faite. Une paire de nichons ronds aux pointes sombres qui contrastent avec le châtain clair des cheveux. De fins tétons bruns sur des mamelons aigus qui se confondent avec des aréoles sensiblement moins foncées. Une taille plus étroite que je n’aurais parié et qui fait d’autant mieux ressortir des hanches en amphores. Et sous le ventre légèrement bombé, un pubis si lisse que j’en devine une douceur comparable à celle des joues de son joli visage.
Plus haut, les jolis yeux bleus de ce joli visage me considèrent froidement tandis que le joli nez se fronce et que les jolies lèvres de la jolie bouche remuent.
— Je n’ai pas encore eu le loisir d’examiner les formes intimes de ta soumise, ma Reine. Me l’autoriserais-tu ?
— Fais à ta convenance, ma chérie, concède négligemment Colette. Il est équitable que tu les connaisses aussi bien que nous.
— Merci, ma Reine. Est-ce que… ?
— Je vais t’aider, ma grande, se précipite Janine.
Ma grande ! Tu parles, elle la domine d’une tête ! Mais foin d’étonnement, les genoux de la grande, la vraie, encadrent déjà la mienne, de tête, et les ...
... pans de sa tunique m’isolent du monde. Mon horizon limité au charnu de sa vulve, il ne me reste qu’à obéir à son ordre sec.
— Lève les jambes, toi !
Elle les attrape, les écarte, assure sa prise et me force à hausser le bassin, à me plier cul en l’air, la fourche largement ouverte pour un bon accès à mes deux trous.
— Régale-toi, ma grande.
Encore ! Bon, à quoi dois-je m’attendre ? Exploration ou gougnottage ? Les doigts fins qui me saisissent me donnent la réponse. Mes chairs fragiles sont dépliées, étirées, roulées, froissées jusqu’à ce que l’inévitable arrive. Mon vagin exulte de cyprine. Ce n’est pas suffisant, semble-t-il. Des ongles acérés me pincent au plus sensible, mon pauvre clitoris est extirpé de sa cachette, les douleurs m’irradient et affolent mon ventre. Je geins. Trop fort, apparemment.
Une masse molle, humide et goûteuse me bâillonne. Mon nez se niche dans une dépression odorante de musc et de sueur. Souffrance et délectation, tout mon bonheur ! J’abandonne mon con à la torture et je lèche, je lape, je bouffe celui qui se présente.
— Continue, continue… Répète Janine.
Je le prends pour moi seule, je m’active. Je m’applique, je redouble du jeu des lèvres et de la langue. Je me trompais, elle s’adressait à Bénédicte aussi, la fouille de ma chatte se poursuit, à trois doigts maintenant. Ils entrent, ils sortent, ils tournent, ils plongent, ils récurent, ils cherchent le point fameux. Je ne peux plus râler, j’ai la bouche occupée et le nez plein ...