Un baiser forcé
Datte: 07/03/2018,
Catégories:
fh,
douche,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
Auteur: Roger Bichon, Source: Revebebe
... durcit d’envie et se redresse jusqu’à pointer fièrement. C’est alors que je sens un doigt humide pénétrer mon anus. Il me fouille, il me lime, il m’explore.
— Maintenant, branle-toi, petit cochon.
Je m’exécute.
— Fais-toi juter sur le mur et donne-moi tout ton foutre !
Elle me branle le cul avec vigueur. Je suis tellement excité que je tarde pas à jouir. Je jouis à gros bouillon, aspergeant la cloison qui dégouline de mon jus.
Elle a délaissé mon cul. Elle me tend un mouchoir et retourne s’asseoir à la table.
— Maintenant, nettoie tes cochonneries et ramène-moi ton foutre. Tu peux te reculotter.
Je lui tends le petit bout de tissu poisseux, elle le porte à sa bouche, elle lèche un peu partout, attirée par le sperme frais, sans trop faire attention à moi. Elle me tend négligemment le sac qui contient mes caleçons et sa petite culotte :
— Maintenant, laisse-moi. Je suis fatiguée, à demain, dit-elle sans me regarder.
— Au revoir.
— Oui, salut.
Je ferme la porte sans avoir droit à un seul regard.
J’ai rarement connu fille aussi cochonne. Je me demande ce que la prochaine fois, elle va pouvoir nous inventer. Elle ne m’a laissé aucune consigne particulière. Dois-je lui ramener de nouveaux caleçons sales ? J’ai l’intuition que tout ça c’est déjà du passé, qu’il ne faut pas recommencer. Il lui faut du nouveau, de nouvelles sensations fortes. Il faut que j’essaie de trouver quelque chose pour la surprendre. Trop de redites et elle va finir par se ...
... lasser. C’est bien la première fois que je me creuse autant la tête pour satisfaire une fille !
Je m’endors avec ses deux culottes sur son oreiller. Son odeur m’est déjà presque familière et désormais indispensable.
Le lendemain matin, je passe à la laverie, je fais une grande lessive. En revenant chez moi, j’évite de me branler. J’ai envie de tout garder pour elle.
Ce soir-là, je l’attends à la fac de Sciences. Elle a un cours Amphi B de 16h à 17h30, et puis ensuite plus rien. La veille, j’ai regardé discrètement son planning. Les étudiants sortent en masse. Planqué dans mon coin, j’ai peur de ne pas la voir. Peut-être a-t-elle séché le cours ? Non, ce n’est vraiment pas le genre. Elle ressort finalement avec une autre fille, elles se dirigent toutes les deux vers l’arrêt du bus et je les suis à distance. Puis, voyant qu’elle m’a repéré, je me décide à les rejoindre. Liane fait comme si elle ne me connaissait pas, elle parle négligemment avec sa copine :
— Je suis sortie avec un garçon de la radio. Un mec crado, tu peux pas savoir ! lui confit-elle.
— C’est celui qui t’avais draguée l’autre jour ?
— Non, celui-là je l’ai envoyé paître. Non c’est un autre, un type qui m’avait embrassé de force alors qu’il était complètement bourré.
— Beurk ! Et tu es quand même sortie avec lui ?
— Je ne sais pas ce qui m’a pris. Tu aurais vu ça quand il a retiré son slip. Pouah, quelle odeur ! A te dégoûter de faire l’amour.
— Mais rassure-moi, tu n’es sortie avec lui qu’une seule ...