Un baiser forcé
Datte: 07/03/2018,
Catégories:
fh,
douche,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
Auteur: Roger Bichon, Source: Revebebe
... fois quand même ?
— Tu parles ! Maintenant il me colle, il s’incruste. Et j’ai eu la faiblesse de recommencer.
Le bus vient d’arriver. Il est bondé. Nous restons debout. Je m’arrange pour me retrouver juste derrière Liane. Elle s’est agrippée à une barre centrale. Et moi, je tiens la même barre, je suis collé à elle, mon sexe bien dur contre ses fesses, je bande comme un sagouin. Elle, de son côté, elle n’hésite pas à tendre ses fesses vers moi.
— Ne me dit pas que vous avez fait ça sans protection, interroge son amie.
— Nous n’avons pas vraiment fait l’amour. Juste quelques caresses buccales… Il m’a entraîné dans une arrière-cour, au sortir de la radio et il m’a demandé de le sucer
— Et tu l’as fait ?
— Oui, il sentait tellement fort que j’ai failli vomir…
Même si les filles parlent tout doucement, la conversation n’échappe nullement aux deux étudiants qui sont près d’elles. Probablement excités par les propos salaces, ils se mettent à les draguer.
— Ça vous dirait de sortir en boîte avec nous ce soir ?
Liane décline immédiatement l’offre mais sa copine ne dit pas « non ». Du coup ils se mettent tous les deux à brancher cette dernière et Liane s’en retrouve libérée. Les mouvements du bus accentuent les frottements de ma queue sur les fesses de mon amante. Je suis hors de moi. J’ai tellement envie d’elle que je me sens prêt à exploser.
Sentant mon émoi profond, à l’arrêt de bus suivant, Liane décide de descendre :
— J’ai une course urgente à faire, je ...
... te rejoins plus tard, crie-t-elle à son amie.
Je lui emboîte le pas discrètement. Je bande comme un sagouin. Elle tourne dans une petite rue et m’entraîne dans le couloir très sombre d’un immeuble assez sordide. Elle trouve un petit recoin, tout près de deux poubelles. Et, malgré l’odeur fétide, elle s’agenouille de suite devant moi. Elle dégrafe ma braguette et libère une queue bien dure qu’elle embouche aussitôt avec appétit. Ma queue sent-elle aussi fort que dans son histoire ? Je crains bien que non car j’ai pris une douche la veille au soir. Mais cela n’altère en rien son entrain. La voici qui s’active comme une malade dans le noir. Des gens passent en riant dans la rue et, au-dessus de nous, une porte claque. À chaque fois, je tremble un peu, mais cela ne l’empêche nullement de continuer son travail. Elle pompe de tout son cœur… Et voici que je jute. Elle ne boit pas mais elle s’asperge copieusement le visage avec mon jus gluant.
A peine le temps de me rafistoler et, elle, de se redresser, que nous entendons quelqu’un dévaler l’escalier. Nous courrons à perdre haleine et rejoignons la rue. Elle a encore du sperme plein les cheveux, sur le visage, un peu partout d’ailleurs, ce qui ne l’empêche pas de rire aux éclats…
A l’arrêt de bus, elle attrape un mouchoir dans son sac et je l’aide à se nettoyer.
— Tu aurais eu la queue sale, je l’aurais sucée avec autant d’appétit, me confie-t-elle alors que le bus arrive. Quand on aime vraiment, on ne s’arrête pas à ces ...