1. Semaine 1


    Datte: 17/11/2024, Catégories: fagée, bizarre, forêt, campagne, collection, Oral journal, occasion, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... garder en réserve des colis par exemple pour la tournée du lundi. Cela me convenait bien, surtout que j’ai tout de suite vu, dans les paquets gardés en attente, un petit Colissimo pour Mme Salem. Ce sera donc pour lundi, j’en frémis d’avance.
    
    En attendant, j’avais prévu deux visites sans distribution de courrier pour ce matin. D’abord, je passais discrètement devant chez Célia et Alice avant de frapper chez Mme Fourest.
    
    — Bonjour madame, ai-je dit à Laetitia avec un grand sourire. Je n’ai pas de courrier pour vous aujourd’hui.
    — Ne reste pas là, me répondit-elle aussitôt, j’ai des voisins qui sont des vrais fouille-merde. Entre vite !
    
    Je la suivis donc à l’intérieur. C’était un intérieur bourgeois banal et sans intérêt.
    
    — Je pourrais t’offrir un café mais on va plutôt aller dans ma chambre tout de suite, si tu veux bien. Mon mari est au PMU, comme tous les samedis mais aujourd’hui, ce crétin m’a promis de rentrer tôt. Tu te souviens, tu m’as livré une robe que j’avais commandée en début de semaine. Je n’ai personne pour me donner son avis, Franck n’a aucun goût. Toi, j’ai vu tout de suite que tu sais regarder les femmes, tu vas me dire comment elle me va. Tu veux bien ?
    — Pourquoi pas ? dis-je.
    
    Nous entrâmes dans une chambre qui ne semblait que la sienne, aucune trace n’indiquait qu’elle puisse la partager avec un homme. La robe livrée était en attente, étalée sur le lit. Elle savait donc que j’allais venir.
    
    — Sois gentil, tourne-toi que je me déshabille. ...
    ... Tu n’es pas venu pour me voir toute nue dès notre première rencontre, n’est-ce pas ?
    
    Je marmonnais un non timide et stupide et fis demi-tour, pour me rendre compte que je faisais face à une grande armoire avec un miroir sur la porte. Ainsi tourné, je la voyais très bien enlever sa jupe. Elle ne pouvait pas ne pas le savoir, cette femme était coquine et voulait juste vérifier que j’étais un garçon obéissant. Parfait, je décidais d’être le plus obéissant des chevaliers servants car elle était vraiment très bien faite. Elle quitta son chemisier et se retrouva en culotte et soutien-gorge, un ensemble bleu lavande de qualité avec une culotte minimaliste et des bonnets bien garnis, un délice.
    
    Ensuite, elle hésita, jeta un œil vers l’armoire, mine de rien, puis enleva son soutien-gorge, massa un peu ses seins et finalement me les présenta dans toute leur beauté, de lourds appas à la peau blanche, les tétons sombres pointant dans ma direction. Je faillis la complimenter puis je me rappelai que j’étais censé ne rien voir et je me tus. Elle se tourna alors vers le lit, m’offrant une jolie vue sur des fesses parfaitement charnues et fermes et elle enfila une petite robe beige bien moulante, puisqu’elle dut se tortiller pour se glisser dedans. Je n’avais jamais vu un spectacle aussi excitant. Elle m’appela ensuite pour remonter la fermeture qui était dans le dos et commençait assez bas.
    
    J’étais donc derrière elle. Je sentais son parfum, capiteux. Je voyais son dos très cambré et ...
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