1. Femmes à lunettes...


    Datte: 13/11/2024, Catégories: f, fplusag, jeunes, bain, forêt, jardin, humilié(e), cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, lieuloisi, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... l’étire plus fort, une petite giclée arrose mes phalanges exploratrices et la pierraille mousseuse d’algues. Je geins en me mordant la lèvre inférieure. Perdue dans mon orgasme, je sais déjà que je vais être encore bousculée par un nouveau plaisir. La jouissance brève du premier assaut n’est pas achevée que la nouvelle vague se lève déjà.
    
    Pour gagner la place que je me suis octroyée, il faut venir d’en bas. On ne peut accéder à l’endroit qu’en montant de la grève. Il est donc impossible que quelqu’un déboule dans mon dos. Personne ne peut me voir de derrière mon emplacement. Je me sais tranquille et en sécurité. Du coup, je bouge et change de position. Mes fesses nues ont quitté la pierre et je me suis allongée. Ma tête a remplacé mon postérieur, posée sur le pull plié que j’ai enlevé. Je bouge encore pour rester à demi allongée. Tout au plus, jusqu’ici, mon jeune voyeur n’avait pas vu grand-chose. Il n’avait pu que remarquer mes cuisses nues, et peut-être avait-il compris que je me caressais. L’envie de relever mon pull m’avait bien effleuré l’esprit, mais je ne m’étais pas exécutée sans savoir vraiment pourquoi. Mon freluquet n’avait pu voir que les mouvements de ma main gauche sous le pull. Ma jupe relevée, mes jambes nues et écartées et les caresses que je me prodiguais, mon intimité cachée par ma main en action. Voilà ce qu’il avait pu voir. Mon freluquet n’avait pas accès aux détails bien plus excitants qui m’emplissaient l’esprit. Plus proche de moi, il aurait vite ...
    ... deviné que mes tétons étaient durcis par l’excitation et pointaient sous mon pull. Il aurait pu se repaître de la vue de ma petite chatte intégralement lisse. Il aurait pu constater que j’étais mouillée. Il aurait pu s’exciter de mon orgasme en m’entendant gémir tout en giclant sur mes doigts qui me fouillaient. Mais il était bien trop loin pour apprécier le spectacle. Un spectacle que je m’offrais donc à moi-même, quelque peu excitée par le fait que mon freluquet se caressait plus vite depuis que j’avais écarté les cuisses
    
    Maintenant, mon pull est remonté sur mes seins nus et ma jupe relevée sur mon corps. J’ai écarté la cicatrice de mon ventre de l’index et du majeur. L’accalmie m’a fait songer à mon freluquet. Je lui offre maintenant mon fruit onctueux en toute impudeur. Évidemment, mon geste est plus symbolique qu’autre chose. Quelque vingt pas nous séparent. Même doté d’une vue de lynx, il ne peut apprécier pleinement mon offrande.
    
    Mes doigts, immobiles, posés de part et d’autre de ma fente, l’ouvrant à la légère brise marine, ont laissé la deuxième attaque du plaisir s’approcher. Un long moment, je regarde mon petit bouton sorti de sa cachette. Il m’arrive d’envier le clitoris de ma compagne. Chloé possède un véritable trésor de bouton. Épais et long. Dur et tendu sous la langue. Chacun doit pourtant faire avec ce qu’il possède. Chloé a honte de son clitoris, que moi, je lui envie. La pulpe de mon index écrase le petit insolent tout en le massant. Cette fois, je ...
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