1. Femmes à lunettes...


    Datte: 13/11/2024, Catégories: f, fplusag, jeunes, bain, forêt, jardin, humilié(e), cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, lieuloisi, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... laisse vagabonder regard et pensée. Yeux fixés à mon freluquet et envie qu’il me regarde. Il se masturbe toujours avec ardeur, les yeux rivés sur moi. Mon imagination remplace ma vue défaillante. Je suis très cérébrale et ce que j’imagine est souvent plus agréable que ce que je peux voir. Si mon jeune admirateur peut me voir de loin. Je ne peux que distinguer sa silhouette. Tout de même, fichue tête de linotte ! Mes lunettes me manquaient vraiment maintenant.
    
    J’ai rapproché mes seins en les tenant par leurs pointes, maintenant mes globes l’un contre l’autre. C’est très bon. Mes tétons ainsi maintenus sont calmés et je peux les pincer comme bon me semble. Cuisses largement ouvertes, je ne laisse plus planer le moindre doute et mon freluquet ne peut plus ignorer ce que je fais. J’espère qu’il ne finira pas par s’approcher. Ce serait un véritable gâchis. Les choses sont parfaites ainsi.
    
    Trois doigts m’ouvrent et massent l’intérieur de mon antre trempé. Leurs extrémités poussent parfois avec une certaine force vers le haut et je sais que cette caresse me fera asperger la pierre et la mousse rêches qui me collent aux fesses. Je sens que je vais gicler. Mes épanchements de plaisirs n’ont rien à voir avec ceux de Chloé, qui rivalisent avec les chutes du Niagara, encore un fait qui l’emplit de honte, il m’arrive parfois de gicler sans pouvoir contrôler ces démonstrations de jouissance. Et j’éprouve tout comme ma compagne, une honte idiote en giclant devant quelqu’un d’autre ...
    ... qu’elle.
    
    Je regarde un moment mes seins, puis mon ventre et entre mes cuisses largement ouvertes je distingue la silhouette de mon freluquet. Des pensées troubles me font aussitôt accélérer mes caresses et, poussée par mon imaginaire devenu enflammé, je ne peux m’empêcher d’aller plus loin dans mon exhibition. Mes pieds, toujours chaussés de sandales spartiates de cuir gris, sont montés et se sont éloignés l’un de l’autre le plus possible. Le but étant de m’imaginer offrir une vue imprenable à mon freluquet. Montrer mon sexe dégoulinant et dévasté par trois de mes doigts, et mon anus, pour certains, l’endroit le plus intime de leurs personnes. Cette idée me fait déserter ma fente pour que mon petit trou ne puisse rien me reprocher. Mon majeur gluant n’a aucun mal à ouvrir doucement mon œillet et à s’y enfoncer lentement. L’effet obtenu me fait gémir tandis que je pince plus fortement les pointes emprisonnées de ma poitrine. Mon majeur va et vient doucement dans l’étroit fourreau, il bouge et s’enfonce en tournant dans son douillet logement. Puis il est rejoint par un index impatient et mes doigts serrés continuent leur petit jeu, ouvrant un peu plus mon cul devenu plus gourmand. Je sens mon petit trou palpiter quelque temps et se serrer sur les assaillants, avant de finir par s’avouer vaincu et de se détendre pour se laisser prendre. Je mouille. Je me sens couler sur les galets grisâtres. J’imagine mon voyeur observer mon petit orifice ouvert par mes caresses. Il est si loin ...
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