1. Femmes à lunettes...


    Datte: 13/11/2024, Catégories: f, fplusag, jeunes, bain, forêt, jardin, humilié(e), cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, lieuloisi, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... suffi. Le freluquet s’excite sur moi. Sur mon image, vue quelques instants seulement. Alors, si je comprends ce qu’il fait de mon image actuellement, c’est parfait pour lui. L’idée amusante que mon freluquet et moi avons des goûts de couleurs vestimentaires communes me fait sourire. Comme lui, je suis aujourd’hui vêtue de sombre. Un pull léger noir et une jupe flottante grise agrémentée de fines rayures blanches.
    
    Un petit signe de la main. Mon freluquet doit éprouver l’envie d’être bien certain que je l’ai reconnu. Il aimerait certainement être rassuré. Alors, sans encore aujourd’hui bien comprendre ma réaction, je réponds au jeune type par le même geste. Et ce geste anodin a subitement déclenché certaines conséquences. Une brusque excitation m’est venue sans que je ne puisse l’expliquer, me donnant soudain chaud au ventre et faisant durcir les pointes de mes seins sous le pull. Jusque-là, je regardais ce jeune homme sans vraiment le voir. Maintenant, il sait que je le fais. Mon freluquet ne me quittait pas des yeux et sans y penser vraiment, cette idée devait déjà m’exciter un peu. Son intérêt pour moi y est forcément pour quelque chose, et ce, alors que mes idées n’étaient pas tournées vers un désir quelconque. Merde alors ! Je songeais aux mouettes et à leurs piaillements agaçants. Pourtant, le fait est que j’éprouve maintenant une excitation soudaine, presque brutale et bien réelle.
    
    Ma cuisse droite s’est éloignée de sa grande sœur. C’est presque un geste ...
    ... incontrôlé mais je ne cherche plus à élucider cet autre petit mystère plus avant. Tandis que ma main gauche relève ma jupe sur mes cuisses, les doigts de mon autre main se glissent sous mon string. Je suis mouillée. J’ai mouillé le coton noir sans m’être aperçue de mon émoi. Quand index et majeur s’installent dans la place, je m’étonne encore du soupir que je lâche. Cette excitation inattendue me surprend réellement. Si elle était latente, je n’ai rien vu venir. Jupe relevée sur le ventre, je regarde un moment mes doigts pénétrer ma fente sous le coton noir, tandis que ma main libre passe sous ma jupe. Un mouvement du bassin et le string glisse sur mes cuisses avant de s’échouer sur mes chevilles. Jambes ouvertes, je me laisse aller au plaisir, regard rivé à mon sexe. Mes doigts maintenant bien mouillés quittent l’antre qu’ils investissaient, pour caresser mon pubis sans la moindre pilosité, laissant des traces humides sur ma peau. Ma grotte est maintenant ouverte à toute exploration. Une grotte abritant une source. Une source qui ne demande qu’à couler librement. Une nouvelle plongée de mes doigts et je soupire encore. Je vais jouir très vite. L’impression que ma main agit de sa propre volonté est étrangement dérangeante. Mes tétons érigés ont envie d’être pincés et je les satisfais aussitôt en caresses alternées de mon autre main. C’est toujours le bourgeon gauche qui est le plus gourmand de câlins. C’est un petit égoïste. Il adore les caresses proches d’une petite douleur. Quand je ...
«12...678...12»