Dans l’antre du vice
Datte: 07/11/2024,
Catégories:
fhh,
hagé,
extracon,
inconnu,
ascenseur,
toilettes,
humilié(e),
Masturbation
Partouze / Groupe
fdanus,
confession,
dominatio,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Effrontee, Source: Revebebe
... fois hors de chez moi. Je laisse mes seins nus.
Quand je sors, mon époux est devant la télé à attendre le journal de 20 h. Tous mes nerfs sont tendus, suspendus à une manifestation de mon chéri. Ma main tremble quand je mets la clef pour ouvrir la porte de l’auto garée devant chez nous. Je dois me contrôler pour ne pas jouir ou m’enfuir.
J’arrive un peu en avance à la gare. Je fais le tour du bâtiment avant de me garer sur le parking presque vide à cette heure. Mon cœur bat à 200 pulsations. J’ai mal au ventre. La nuit est noire, pas de lune. Seul l’éclairage urbain diffuse une clarté troublante, pleine de mystère et d’angoisse. Les toilettes sont au bout du quai, dans une zone mal éclairée. Discrètement, j’enlève ma culotte que je place dans la boîte à gants. Ce simple fait d’abandonner toute possibilité de retour pour me reculotter ajoute à mon excitation. J’ai l’impression de me livrer encore plus.
Un train arrive et des voyageurs descendent pour finir par s’évanouir dans la nuit. Il est 20 h. Je sors de l’auto. Mes jambes ont du mal à me soutenir, elles tremblent. Mais je suis déterminée. Mes semelles de caoutchouc étouffent le bruit de mes pas.
Les toilettes sont à quelques mètres devant moi. J’ai peur, je crois que je vais m’évanouir. Cela fait déjà bien longtemps que je déroule le film de ce moment dans ma tête, que je m’en suis fait presque jouir plusieurs fois avant d’arriver ici, le temple de ma perversité.
C’est trop fort, je titube, je ...
... m’appuie sur le mur sale. Je me ressaisis et pénètre dans le local aux murs de faïence bon marché envahi par des odeurs qui me surprennent cette fois encore. Personne dans les toilettes à peine éclairées. Devant moi, la porte de NOTRE cabine est ouverte. Elle est libre ! Dans un sursaut de survie, je m’y précipite. À peine entrée, je la ferme brutalement et engage le loquet de fermeture. Je m’aperçois que je suis dans le noir complet. Je tente de calmer mon angoisse contrôlant ma respiration.
Alors soudain, je crois mourir quand je sens un bras me saisir à la taille et une main se plaquer sur ma bouche. Il est là ! Collé derrière, contre moi.
— Chut la belle ! Ferme-la, et tout ira bien ! Compris ?
Je ne sais pas où je trouve la force de donner mon accord d’un simple signe de tête. Je sens un corps pressé contre mon dos, une bouche dans mon cou qui souffle une haleine chaude.
J’ai envie de vomir, j’ai trop peur. Je crois en cet instant qu’il va me tuer. Et comme certains animaux qui, tétanisés, se laissent attraper quand la mort arrive, à mon tour je me sens décidée à mourir. Je perçois la fin comme une offrande à mon prédateur. Je m’abandonne, impuissante, devenue sa proie. Je me rends compte que je pisse sur moi et le liquide coule entre mes cuisses. Une odeur d’urine forte emplit la petite cabine. En même temps, je sens que je mouille. Ce mélange de peur et d’humiliation me trouble car il m’excite. C’est à ce moment qu’éclate mon premier orgasme, totalement ...