Dans l’antre du vice
Datte: 07/11/2024,
Catégories:
fhh,
hagé,
extracon,
inconnu,
ascenseur,
toilettes,
humilié(e),
Masturbation
Partouze / Groupe
fdanus,
confession,
dominatio,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Effrontee, Source: Revebebe
... adolescente et fréquente l’homme qui va devenir mon époux. C’est un jour de la fin du printemps. Il fait beau et chaud. Je suis sur le chemin pour rejoindre mon chéri. J’ai envie de faire l’amour. Je pétille de beauté en marchant dans la rue, goûtant le plaisir nouveau de tous ces regards sur moi. Il faut dire que je me suis faite belle pour lui. Tout est innocent alors.
Une légère robe d’été à fleurs dont le décolleté à l’heureuse tendance à bâiller facilement découvre la peau blanche de mes seins libres. Certaines positions permettent même de laisser entrevoir la couleur caramel de mes aréoles, au centre desquelles pointent mes tétons. Une large ceinture me dessine une taille fine au-dessus de mes jambes découvertes à mi-cuisses. J’ai chaussé mes pieds de fines ballerines avec des petits talons me donnant une silhouette de jeune femme respectable mais pour autant sexy. Une veste de lin sans boutons couvre mes épaules.
Passant devant le grand magasin du centre-ville, je me laisse tenter par l’envie d’y entrer vagabonder quelques minutes avant de rejoindre mon fiancé.
Je déambule entre les rayons de chaussures puis dans l’espace des sous-vêtements féminins. Je suis heureuse, me sens belle et admirée pour moi-même. D’un seul coup, je ressens une pulsion que je connais bien aujourd’hui, mais nouvelle à cette époque.
Il suffit d’un mot, d’une image, du son d’une voix, d’un regard qui agit comme la gâchette d’un pistolet pour déclencher une onde ardente, brutale, ...
... spontanée de sexe. Cela me prend au creux de l’estomac et envahit tout mon corps qui se met à disposition. Mon cœur bat plus vite, mon sang frappe mes tempes, mes jambes sont parcourues de légers tremblements. Une envie soudaine investit mon corps, celle de me montrer.
Je ne suis pas seule au milieu du rayon. Des femmes surtout mais des hommes dont certains âgés ont des regards lubriques vers les mannequins déshabillés. Et vers moi ! Je le sens, je le sais.
Ma robe présente deux poches profondes de chaque côté au niveau de mes hanches. Sans vraiment me contrôler, je glisse une main dans celle de gauche. Du bout des doigts, je sens au niveau de la taille, l’élastique de ma culotte. Ma veste est courte et ne dépasse pas ma large ceinture. J’ai bien conscience que les mouvements de mes mains sont bien visibles pour l’entourage. Mais je m’en moque. Mon délire m’enlève toute prudence devant la peur d’être confondue.
Lentement, sur le côté, je glisse un doigt sous l’élastique et pousse le fin tissu vers le bas. Cette sensation de découvrir une partie de mes hanches est délicieusement perverse. Je n’ose pas regarder alentours, mais j’imagine qu’on voit mon geste. Je passe mon sac à main autour de mon cou sur l’épaule pour libérer mon autre main que j’introduis dans ma poche de l’autre côté. Elle saisit à son tour le bord de ma culotte et la fait coulisser doucement vers le bas.
Maintenant, une partie de mes reins se découvre, me délivrant une sensation de liberté jouissive ...