1. Dans l’antre du vice


    Datte: 07/11/2024, Catégories: fhh, hagé, extracon, inconnu, ascenseur, toilettes, humilié(e), Masturbation Partouze / Groupe fdanus, confession, dominatio, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Effrontee, Source: Revebebe

    ... je déjeune face à une amie. Je suis sur le point de lui demander de l’aide, mais je me ravise. Comprendrait-elle ? Non, cette folie n’est pas compréhensible.
    
    L’après-midi est interminable. Mais plus l’heure avance, plus ce mélange de peur et d’excitation grandit. Une nouvelle fois, je réalise que je ne me contrôle plus, que je ne contrôle plus rien. Je suis en danger.
    
    Je passe une heure à imaginer ce que je devrais faire pour satisfaire à ce rendez-vous. J’ai pensé que je rentrerais préparer le dîner pour m’échapper un peu avant l’heure fatidique, prétextant d’aller voir un voisin qui avait besoin de conseils pour une affaire le concernant. Mon mari avalerait la couleuvre, surtout que je sais qu’il a envisagé de regarder un programme à la télé. Pas question de lui laisser supposer où je vais ni ce que je compte y faire, il pourrait m’en empêcher et cette simple évocation m’est insupportable. On verra demain…
    
    Je devrais avoir plus d’une heure de liberté. Je prendrai l’auto pour rejoindre la gare voisine… et ses toilettes.
    
    17 h. Je n’en peux plus, sans aucune explication pour mes collègues et confrères, je quitte le bureau. Je sens que ma culotte est poisseuse et collante. Je suis surprise de tant de sécrétions intimes car jamais je n’ai senti couler un tel débit. Cela me procure en marchant une sensation confuse. J’ai le sentiment que toutes les personnes alentour voient ma chatte humide. J’ai honte, et en même temps, je suis excitée.
    
    À peine arrivée, je me ...
    ... précipite sous la douche. Je la prends froide dans l’espoir d’éteindre ce désir de jouissance. Dans l’espoir de reprendre la main sur mon destin. Car je suis en perdition, incapable de jugement, d’initiative salvatrice. On dit des gens qui se droguent qu’ils sont dans une démarche suicidaire, c’est exactement ma situation… plus rien ne compte que cette chaleur au bas du ventre qui guide mes décisions et annihile toutes traces de discernement. Ni mon mari ni ma famille ne pourraient me détourner d’aller ce soir dans cette gare aux toilettes nauséabondes où les odeurs violentes de pipi se mêlent à celles de la sueur et de sexe.
    
    Je reste en tenue de jogging, nue dessous. Je prépare, fiévreuse, le repas du soir, envisageant toutes les possibilités qui m’interdiraient de sortir… à chaque hypothèse, une réponse. Puis, mon époux arrive vers 19 h. Tout est prêt pour dîner. Je le bouscule, il se met à l’aise et je lui apprends que je dois sortir. Je sens que ma voix tremble. J’ai peur qu’il devine. Il me regarde surpris mais ne réagit pas. Il me confirme qu’il regardera la télé pendant mon absence. Nous dînons.
    
    Je quitte la table sans même débarrasser pour aller me changer. C’est encore l’été et il fait chaud. Une simple robe d’été bleu ciel, entièrement boutonnée sur le devant et qui laisse mes épaules nues. Mon corps doit rester accessible. Des sandales à talon compensé laissent mes pieds presque nus. Je décide de mettre seulement une culotte que j’ai la ferme intention d’ôter une ...
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