Dans l’antre du vice
Datte: 07/11/2024,
Catégories:
fhh,
hagé,
extracon,
inconnu,
ascenseur,
toilettes,
humilié(e),
Masturbation
Partouze / Groupe
fdanus,
confession,
dominatio,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Effrontee, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode précédent :
Une jeune bourgeoise découvre l’existence de graffitis obscènes sur les murs des toilettes publiques. D’abord étonnée, elle se laisse prendre au jeu de correspondances avec un inconnu qui fréquente régulièrement les lieux, jusqu’à le rencontrer. Soumise à des pulsions jusque-là oubliées, elle s’abandonne aux plaisirs de l’onanisme et de l’exhibitionnisme. Son correspondant lui donne rendez-vous pour le soir même.
À la lecture de ce pli, je suis près d’éclater en sanglots. Le ventre douloureux, j’ai envie de vomir tant le choc est brutal.
Je vais perdre mon mari, ma famille, mon poste… Mais alors que toutes ces idées noires me submergent, je les balaye d’un soupir : je constate que je mouille. Je suis d’abord et avant tout excitée, prête à obéir à cet homme qui est sûrement un gourou qui m’a envoûtée. Je ne me sens plus du tout libre de mes décisions, sans plus aucune volonté. Je sais déjà que j’irai de toute façon, et que je suis comme lui.
Je tente de me rassurer : peut-être qu’ils vont se contenter de se branler, exhiber leurs bites devant moi ? Je n’aurais qu’à fixer leurs queues pour les faire jouir… car j’ai bien compris le sens de sa phrase : le « nous » laisse supposer sans ambiguïté qu’il ne sera pas seul.
Tout se bouscule dans ma tête : vingt heures, je le sais, ces toilettes sont encore utilisées ; je vais devoir mentir à mon mari ; c’est l’heure du dîner ; prendre la voiture… tous ces arguments je les balaye d’une ...
... pichenette. C’est acquis : j’y serai !
Entre mes jambes, ma mouille coule à nouveau le long de mes cuisses. Je dois aller changer de culotte pour enfin arriver à partir pour le bureau. En marchant vers la gare pour prendre mon train, je ne peux m’empêcher de penser qu’il est derrière moi, qu’il me regarde marcher, alors je me rends compte que je roule des hanches, que j’exhibe mon cul à ce fantôme, que je veux aiguiser son désir. J’imagine qu’il a la bite dans la main et qu’il la secoue tout en me suivant. J’imagine qu’il éjacule soudain et que son sperme vient s’écraser sur ma jupe, mes jambes… mes cheveux, mon visage. Je deviens folle, le frottement de mes cuisses sur ma chatte m’excite, je sens que je vais jouir en arrivant à la gare. J’attrape le train. Je me calme. Je suis en nage.
Dans le wagon, je suis assise face à un noir qui semble dormir, mais bien vite je vois qu’il a les paupières presque fermées et qu’en réalité il mate mes cuisses, mon décolleté. Pour m’amuser, faisant semblant de dormir aussi, j’entrouvre mes jambes et laisse innocemment remonter ma jupe en me faisant glisser doucement vers le bord de la banquette. Il mate et il doit voir ma culotte tachée de mouille. Au début, cela m’amuse plus que cela ne m’excite, mais, lentement, je ressens ce plaisir à être regardée.
Dans la tiédeur du wagon, les yeux fermés, je permets à un souvenir refoulé de remonter à la surface de ma mémoire. Je m’en rappelle encore tous les détails et sensations… Je suis alors ...