Dans l’antre du vice
Datte: 07/11/2024,
Catégories:
fhh,
hagé,
extracon,
inconnu,
ascenseur,
toilettes,
humilié(e),
Masturbation
Partouze / Groupe
fdanus,
confession,
dominatio,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Effrontee, Source: Revebebe
... intellectualisé.
— Dis donc, ma belle, tu pisses ? Tu as peur ? Rassure-toi, je n’en veux qu’à ton cul ! Pas à ta vie. Elle nous est précieuse.
Je suis toute surprise par cette voix et ces mots dont je ne saisis pas tout le sens. L’homme derrière n’est pas ce rustre qui s’est branlé devant moi l’autre jour.
— Ne bouge surtout pas, ma féline, laisse-moi te découvrir… Voilà… C’est bien, détends-toi, tu vas aimer.
C’est vrai que ces paroles me rassurent et lentement je me détends. Mes bras glissent le long de mon corps. J’ai envie qu’il me séduise, alors je m’abandonne, soumise à ses désirs.
La main sur ma bouche desserre lentement son étreinte. Il sait que je suis à sa merci. Elle me prend le cou qu’elle serre doucement mais fermement semblant de m’étrangler. Je manque d’air mais cela me procure en même temps un immense orgasme que je n’ai pas du tout senti arriver. Je reprends difficilement mon souffle.
Je sens ses lèvres chaudes sur la peau de mon cou, sa langue qui me lèche. Je ne m’attendais qu’à des regards, mais maintenant il y a le toucher. Et j’ai envie de ses mains sur mon corps.
Son bras quitte ma taille et descend sur mon ventre. Sa main se rend compte que la jupe est fermée par une série de boutons. Les deux du bas cèdent rapidement. La main glisse sur ma peau jusqu’aux poils de mon pubis.
— Tu n’as pas mis de culotte ! Tu es une bonne chienne.
En disant ces mots, ses doigts se glissent entre les lèvres de mon vagin encore tout humide de ...
... ma mouille et de ma pisse. Les doigts de son autre main fouillent ma bouche. Il m’attire à lui, se presse contre mes fesses ; je sens sa bite dure, droite, grosse. J’ai envie qu’il me prenne, je suis prête à le supplier de me baiser.
Soudain, un bruit dehors, dans le couloir. On vient de fermer les toilettes. Panique ! Je suis enfermée avec cet homme. Des bruits de pas derrière la porte de la cabine. On vient, une autre personne. L’homme derrière moi me dit :
— Ouvre la porte, tu le sais, mon ami veut te voir. Tu vas lui faire plaisir, hein ?
Je n’hésite pas une seconde pour lui répondre :
— Oui, monsieur, comme vous voulez.
Comme un automate, j’avance la main et j’ouvre la porte de la cabine. C’est lui, je le sais. Je ne distingue pas bien dans le noir. Mais je reconnais son odeur, sa stature. Surtout, je vois l’ombre de sa main qui agite sa queue avec frénésie.
Ma respiration s’accélère, c’est lui que je veux… C’est cette bête qui se branle devant moi en matant mes cuisses découvertes qui m’excite. Comme la première fois dans cette grande surface. C’est pour lui que je suis revenue ici. Ce rustre qui jouit simplement à me montrer sa queue alors que je jouis à lui montrer ma chatte !
L’homme derrière moi s’est occupé d’ouvrir entièrement ma robe qui se dégage toute seule de mes épaules et me l’enlève. Je suis nue à l’exception de mes chaussures.
— Regarde comme elle est belle ta bourgeoise. Mate ses seins, ses cuisses, sa chatte.
Entendre ces mots ...