1. En couchette de seconde


    Datte: 07/11/2024, Catégories: f, fhh, inconnu, train, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour Auteur: Patrick Paris, Source: Revebebe

    ... se faire jouir. Je souris à l’idée que son orgasme risque de réveiller nos voisins. Non, elle fera attention.
    
    Qu’est-ce ? Deux pieds nus pendent devant moi venant de la couchette de dessus. Pas de doute, mon voisin vient de s’asseoir sans faire de bruit. Je me fais encore des illusions, pensant qu’il a peut-être une envie pressante, mais la coïncidence est trop grande, il doit vouloir voir ma femme de plus près. L’obscurité est son allié. Minou n’a pas dû se rendre compte de sa présence, impossible de la prévenir. Elle poursuit sa lente masturbation en espérant ne réveiller personne.
    
    L’homme descend lentement, il est en caleçon. Là plus de doute, debout, il regarde ma femme sans aucune retenue. Étrangement, elle ne réagit pas, ne se protège pas avec son drap. Au contraire, elle ouvre plusieurs boutons de son chemisier, en écarte les pans et libère sa poitrine. Ses seins blancs sont comme deux phares brillant dans la nuit.
    
    L’homme tend le bras. Non, je rêve, il lui pelote les seins, lui titille les bouts, passant de l’un à l’autre d’une main experte. Je suis sidéré, Minou a fermé les yeux, elle accepte la caresse de cet inconnu.
    
    Je devine que cet homme a d’autres projets. Il extrait la queue de son pantalon déjà ouvert, une queue bien tendue que je vois en gros plan à quelques pas de moi. Il se branle face à ma chérie qui n’a pas l’air effrayée, à peine surprise.
    
    Encouragé par le manque de résistance de ma femme, l’homme se penche et dépose un baiser sur ses ...
    ... tétons, elle frisonne, pas de froid. Se redressant, il continue à se branler lentement, guettant sa réaction.
    
    Minou ne bouge pas, fascinée, comme hypnotisée. Dans la pénombre, elle suit la lente progression de cette main qui dégage petit à petit un gros gland rosé.
    
    L’inconnu s’est encore rapproché, il prend alors la main de ma belle qui, comme une somnambule, se laisse guider. Il la pose sur sa queue et accompagne son mouvement, lui imposant de longs va-et-vient.
    
    Mon honneur est en jeu, je ne vais pas laisser faire ça, Minou non plus. Ce contact semble la tirer de sa torpeur. Elle retire vivement sa main comme si elle venait de se brûler et recule contre la paroi du fond de sa couchette.
    
    Imperturbable, l’homme reprend sa branlette silencieuse comme si de rien n’était.
    
    Sa haute stature me cache en partie ma femme, je ne vois pas la main posée sur son ventre qui descend vers sa culotte. La réaction de Minou est cette fois immédiate, elle rejette violemment son drap au fond de son lit, et repousse l’intrus d’un coup de pied rageur.
    
    — Non, vous êtes fou ! On pourrait nous voir, partez… partez, dit-elle en chuchotant pour ne pas alerter tout le compartiment.
    
    Un coup d’œil vers moi, elle semble rassurée, elle me croit toujours endormi.
    
    Je remarque qu’elle n’a pas dit « Je suis une femme fidèle », mais je ne vais pas lui en vouloir pour son manque de vocabulaire.
    
    Ayant certainement peur que les ronflements de sa femme ne s’arrêtent, et qu’elle soit surprise ...
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