En couchette de seconde
Datte: 07/11/2024,
Catégories:
f,
fhh,
inconnu,
train,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Humour
Auteur: Patrick Paris, Source: Revebebe
... attiré par la couchette au-dessus de Monique, un gros dôme orange se balance au rythme des ronflements qui n’ont pas cessé. Les fesses de la grosse dame dépassent de sa couchette, Beuh ! Voyons plutôt en dessous, c’est plus mignon.
Un coup d’œil vers la couchette du bas, peut-être que la petite brune s’est débarrassée de son drap en dormant. Bizarre, je ne la vois pas. C’est certain, sa place est vide. J’aurais dû l’entendre si elle était sortie. Je me penche un peu pour savoir si la blonde est toujours là. Surprise, elle est bien là, avec la brune dans ses bras.
Oh ! La coquine. Elle est allée se réchauffer avec sa copine. Maintenant, il fait plus chaud, elles n’ont plus besoin de drap. Juste en sous-vêtements blancs, immaculés. Dommage, si j’avais la place de Monique, j’aurais pu jouer les voyeurs. Enfin, ne soyons pas trop indiscrets !
Et ma Monique ? Un coup d’œil, son drap ne lui couvre que les jambes. Elle aussi a eu chaud. Je me dis qu’au matin, il faudra qu’elle se recouvre rapidement avant le réveil de nos voisins.
Elle dort du sommeil du juste. Sa poitrine se soulève au rythme de sa respiration, « dors bien, mon amour ». Mon imagination me joue encore des tours, je rêve d’ouvrir son chemisier pour découvrir sa poitrine en liberté, la caresser, l’embrasser, prendre ses tétons entre mes lèvres… cette pensée me donne des idées. Du calme, elle n’apprécierait pas d’être réveillée en pleine nuit, autant attendre le matin, enfin, demain soir, quand nous serons ...
... seuls.
Le train nous secoue en passant sur un aiguillage. Minou bouge un peu, elle se tourne, se retourne. Ça y est, elle est réveillée, elle regarde autour d’elle.
Espérons qu’elle ne m’ait pas vu mater nos voisines. Je fais semblant de dormir, en plissant les yeux. Ainsi, je peux toujours la regarder.
Qu’elle est belle, ma femme, je ne me lasse pas. Allongée sur le dos, ses seins tendent son chemisier, je les devine, j’aperçois le haut de sa culotte, ce n’est pas ça qui va me calmer. Mais, que fait-elle ? Une main posée sur sa poitrine, elle se caresse, sûrement la suite de son rêve. Profitant de l’ouverture de son chemisier, elle glisse une main sur son sein qu’elle malaxe lentement, tandis que son autre main va se perdre sous le drap.
Et moi qui hésitais à me branler. Coquine, va ! Tu as raison, c’est la meilleure façon de trouver le sommeil. Devinant l’activité de sa main entre ses jambes, je réagis comme tout homme normalement constitué : à nouveau je bande, je n’arriverais jamais à me rendormir.
J’imagine, plus que je ne les vois, ses mains qui lui donnent du plaisir. Le regard fixe, elle regarde en l’air comme pour s’assurer que personne ne la voit. La couchette au-dessus de moi bouge un peu, j’entends des craquements, certainement l’homme se retourne dans son sommeil, à quoi rêve-t-il ?
Minou continue ses caresses, doucement, langoureusement. Si elle savait que je la regarde, elle serait gênée. Là dans le silence de la nuit, dans ce train, elle va ...