1. En couchette de seconde


    Datte: 07/11/2024, Catégories: f, fhh, inconnu, train, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour Auteur: Patrick Paris, Source: Revebebe

    ... elle a moins froid que sa copine, sa couverture est à ses pieds. Ses épaules sont nues, elle me tourne le dos, je devine ses fesses à peine recouvertes par le drap. Elle dort en chien de fusil. Je l’observe, là, c’est son sein nu ou son coude ? Je me fais peut-être tout un cinéma pour rien. Si je continue à me pencher pour savoir, je vais tomber, tout ça pour un coude.
    
    Mon esprit vagabonde, des souvenirs me reviennent en mémoire, comme ce voyage pour aller à Paris passer des concours après le bac. Pas très fortuné, je voyageais en seconde assise, à huit dans le petit espace du compartiment. Encore plus difficile de dormir. Face à moi, une jeune fille m’a souri quand je suis rentré. En cherchant le sommeil, je m’imagine grand séducteur, mais vu la promiscuité, personne ne parle, seuls nos pieds puis nos jambes communiquent. Glissant ma jambe entre les siennes, nous sommes restés, toute la nuit, collés l’un à l’autre sans jamais dire un mot. Et dire que ce simple contact m’avait fait bander. À l’arrivée, juste un petit sourire, tout le monde descend. J’ai heureusement le temps de lire le nom et l’adresse de ma belle sur l’étiquette de sa valise.
    
    Le lendemain, je dépose un petit message dans sa boîte « coucou, nous étions hier dans le même train, j’aimerais vous revoir », suivi de mes coordonnées. J’étais plein d’espoir, mais la belle ne m’a jamais répondu, je ne l’ai jamais revue.
    
    Est-ce ce souvenir ou les mouvements du train, je me suis endormi sans m’en ...
    ... apercevoir.
    
    Soudain, le train s’arrête brutalement dans une gare. Je me frotte les yeux, où sommes-nous ? Mystère. Quelle heure peut-il être ? Je n’ai pas la notion du temps. Impossible d’allumer pour le savoir, je constate qu’il fait toujours nuit dehors.
    
    Reprenant mes esprits, je m’aperçois que je bande, et pas qu’un peu, une belle trique, je ne vais tout de même pas me branler ici. L’arrêt brusque du train m’a tiré de mon rêve, un rêve érotique. J’essaie d’y revenir, c’était quoi déjà ? Ah oui, seul dans un train avec deux jeunes filles, celles de dessous ont dû me marquer. Assis entre les deux, je passais de l’une à l’autre, j’embrassais l’une, j’embrassais l’autre, je sens leurs mains sur mes cuisses, elles me caressent à tour de rôle. Tiens, elles sont en soutien-gorge et culotte, tellement transparent qu’elles sont comme nues, tout est possible dans un rêve, quel bonheur ! Je pose ma main sur une cuisse à gauche, je me penche pour embrasser le téton de droite. Je ne sais comment ça s’est fait, je suis nu, ma queue bien raide dans la main de la brune de gauche, je vois la blonde de droite se pencher, je sens déjà ses lèvres autour de mon gland…
    
    C’est cet instant qu’a choisi le train pour freiner brutalement. Il m’a réveillé, « merde, juste au bon moment ! », et malgré mes efforts, impossible de retourner dans mon rêve. Le charme est rompu.
    
    Cette fois, je suis bien réveillé. Ouf ! Ma queue commence à reprendre une taille plus adaptée à la situation.
    
    Mon regard est ...
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