1. En couchette de seconde


    Datte: 07/11/2024, Catégories: f, fhh, inconnu, train, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour Auteur: Patrick Paris, Source: Revebebe

    ... drap, bien à l’abri des regards. Enfin, je ne vois que celle qui dort sous la couchette de ma femme. Dans ce petit espace, chacun a une vue très limitée.
    
    Pour ma part, je reste en t-shirt, mais j’ouvre la ceinture de mon jeans en le gardant sur moi, si une envie pressante me prend durant la nuit, je ne me vois pas arpenter les couloirs en slip.
    
    En haut, le couple de tout à l’heure. Le monsieur occupe la couchette au-dessus de la mienne, sa femme, un peu forte pour ne pas dire grosse, a eu du mal à atteindre son perchoir au-dessus de celle de ma femme. Elle s’est vite endormie, déjà ses ronflements envahissent le compartiment. Si c’est comme ça toute la nuit !
    
    En bas, les deux jeunes filles arrivées en courant à la dernière minute, une blonde et une brune, étudiantes en vacances. Elles papotent un moment à voix basse, mais j’ai beau tendre l’oreille, difficile de comprendre avec les ronflements de la dame du dessus.
    
    Maintenant, le plus difficile reste à faire, trouver le sommeil.
    
    Toc Toc :
    
    — Contrôle des billets, siouplait !
    
    Le contrôleur a choisi le bon moment pour vérifier si tout le monde est en règle. Sans attendre de réponse, il ouvre notre porte avec son pass, et allume le plafonnier. La lumière nous éblouit. Chacun se contorsionne pour chercher son billet et le tendre à l’homme qui prend un malin plaisir à y faire un trou.
    
    Sans rire, il nous lance en refermant la porte :
    
    — Bonne nuit, m’sieu-dames !
    
    L’obscurité me surprend.
    
    En me ...
    ... tournant vers la couchette de Monique, il me suffit de tendre le bras pour la toucher. Je lui caresse la joue. Elle me prend la main, l’embrasse et la pose sur sa poitrine en me murmurant « bonne nuit, mon chéri ». J’en profite pour la peloter par-dessus le tissu de son chemisier « Bonne nuit, ma chérie ». Elle défait un bouton, m’invitant à me glisser sur sa peau, je m’attarde un instant sur ses tétons que je sens déjà bien durs. Comme moi, elle aimerait que nous soyons seuls, la nuit va être longue.
    
    J’accentue mes caresses. Ma main passe sous son drap, glisse sur son ventre, ses cuisses, atteint sa culotte, j’écarte l’élastique pour accéder à son intimité. En frissonnant, Monique la retire en riant, elle me repousse doucement, et à voix basse :
    
    — Mon chéri, attention, on pourrait nous voir.
    
    Je devine son sourire :
    
    — Demain soir à l’hôtel, nous nous rattraperons.
    
    Faut se faire une raison. Nous nous tenons par la main pour chercher ensemble le sommeil, bercés par le roulis du train.
    
    Je suis maintenant habitué à l’obscurité, de temps en temps éclairée par la lune qui filtre au travers les rideaux mal ajustés, je détaille nos voisins.
    
    Les deux jeunes filles du dessous retiennent mon attention. La brune qui dort sous ma chérie, frileuse, est emmitouflée dans son drap et sa couverture, ne laissant apparaître que ses yeux. J’aurais peut-être plus de chance avec la blonde en dessous de moi, une jolie fille à l’allure sportive. Je me penche un peu plus pour la voir, ...
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