Clémence, l’essor d’un amour
Datte: 03/11/2024,
Catégories:
ff,
fplusag,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
fgode,
fdanus,
fouetfesse,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... ventre, mais le contact de la laine douce et tiède sur la peau est suffisamment sensuel. Je me love contre elle.
— Oh, Colette, c’était bizarre. J’ai presque eu peur. J’avais froid, j’avais mal, je me sentais désespérée. Et en même temps, j’avais envie de vous obéir, besoin de vous faire plaisir. Quand vous me fouettiez, je croyais que ça laisserait des traces, mais non.
— Non ? Faites voir, s’interroge t’elle en relevant le manteau sur mes reins.
Elle palpe mon cul, j’aimerais qu’elle ne s’arrête jamais. Je frémis à nouveau, mais de plaisir. Elle s’en aperçoit et tapote gentiment mes fesses.
— En effet, à part quelques petits bleus sans importance, votre joli popotin est intact. Je craignais d’avoir perdu la main, vous êtes si sensible… vous avez la peau si fine…
Elle la caresse encore. J’ai la chair de poule sur tout le cul. Des frissons me parcourent des reins à la chatte. Ils remontent en papillons de mon ventre à mes seins. Je voudrais lui crier de m’embrasser les fesses. Je cache mon visage dans son cou, je murmure à son oreille.
— Donnez-moi la fessée, Maîtresse.
— La fessée, vilaine fille ? Et pourquoi donc ?
— Pour avoir gâté la délicieuse omelette que vous avez préparée à midi, Maîtresse.
— Ah, pour ça, rit-elle. Vous ferez… Tu feras… Zut, j’en perds le fil ! La punition sera de faire la cuisine ce soir.
— Les deux, Colette. La cuisine, parce que je voulais vous le proposer, et… la fessée, parce que… je voudrais essayer.
Je me sens piteuse. ...
... Je ne conçois même pas pourquoi je demande ça. Elle me prend aux épaules et m’éloigne, me regarde avec perplexité.
— Vous êtes étonnante, Chantal. Est-ce que je vous aurais contaminée ?
— Je ne sais pas… peut-être…
Elle reste silencieuse. Je suis embarrassée. Je baisse la tête. Elle respire fortement.
— Bon ! Tu veux ta fessée, tu vas l’avoir ! Tu feras aussi la cuisine, après, toute nue. Tant pis pour toi : j’ai envie de frites ! Relève le manteau sur ton cul et penche-toi sur la chaise.
Je découvre mes fesses et empoigne les bords du siège. Elle remonte le vêtement sur ma tête. Les pans retombent sur ma figure. Je suis isolée, aveugle, enfouie dans un cocon de laine. J’attends.
Curieux comme la notion de temps est subjective. Mon attente parait ne plus finir. Des bruits assourdis me parviennent. Que fait Colette, pardon, ma Maîtresse ? Si je distingue bien les craquements du feu, je ne perçois pas de mouvements derrière moi. Aurait-elle changé d’avis ? C’est ça, elle plaisantait, elle m’a fait croire que…
— Aîeiiiii !
J’ai crié de surprise plus que de douleur. Enfin, j’ai eu mal mais pas comme maintenant ! Les claques se succèdent, elles passent d’une fesse à l’autre plus vite que je ne peux les compter. J’ai le cul en feu. Ce n’est pas possible d’avoir la main aussi dure, elle doit avoir pris un battoir ! Je crispe mes doigts sur la chaise, je serre les dents, je refuse de crier, je pleure, je vais lui demander d’arrêter. Non, elle se moquerait de moi, ...