1. Clémence, l’essor d’un amour


    Datte: 03/11/2024, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, fdanus, fouetfesse, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Nous prenons le café dans le petit salon qui jouxte la cuisine de Colette. Elle a soigneusement fermé toutes les autres portes pour concentrer dans ces deux pièces la chaleur du poêle. Pour l’instant, nous sommes installées face à face sur son canapé, le dos calé contre l’accoudoir. Mais je sais qu’il nous faudra renouveler la provision de bois et affronter à nouveau la pluie. Elle avait cessé durant le déjeuner. Voilà qu’elle reprend de plus belle.
    
    Colette semble perdue dans ses pensées, ou peut-être rassemble t’elle ses souvenirs pour finir de me raconter les premiers pas du couple Ève Clémence dans son duo domina dominée. Je me suis fait une règle de respecter ses silences. C’est aussi l’occasion de mettre un peu d’ordre dans mon esprit. J’ai toujours dans les narines le souvenir du parfum intime de mon hôtesse.
    
    Elle avait raison. Je n’ai trouvé sur les bords ourlés de son sexe, ni sur les replis de sa fente ou sur la peau autour de la vulve, aucun stigmate de son récent jeu de pique-nique avec l’amie en visite. Curieux amusements érotiques, tout de même ! Mais j’ai pris le parti de ne pas juger ce que je ne comprends pas. Ou plutôt, pour être honnête avec moi-même, je suis confusément attirée par ce mélange de douleurs et de plaisirs revendiqué.
    
    Et ce qui m’interpelle, plus qu’il ne m’inquiète, c’est le trouble que j’ai ressenti en approchant d’aussi près sa chatte. Sa vue m’avait déjà remuée, certes, un peu par l’opulence de ...
    ... ses formes, beaucoup par la nouveauté, pour moi, de son exhibition. Là, étalant et retournant ses étonnantes lèvres à la recherche d’hypothétiques traces, je respirais les fragrances qui s’en dégageaient, et je mouillais.
    
    Je mouille encore en repensant à ses longues nymphes qui, déployées, m’ont fait songer à un petit nénuphar. Nymphes, nénuphar… l’association de ces mots m’évoque une image… Oui, bien sûr, le tableau de Monet, Les Nymphéas. Je me demande si Colette aimerait que l’on appelle nymphéas ses petites lèvres surdéveloppées… Je souris en moi-même. Enfin, je le crois.
    
    — Vous rêvez, Chantal ? À quoi pensez-vous ?
    — À vos lèvres, dis-je franchement. Les lèvres de votre…
    — J’avais compris ! Mais encore ? Croyez-vous que j’aurais utilisé une recette magique pour faire disparaître les séquelles que vous attendiez ?
    — Non, non. Pardonnez-moi, Colette, je ne vous soupçonnais pas de mensonge. Je me disais que le mot nymphéa décrirait bien vos petites lèvres. Nymphes, nymphéas, vous voyez ? C’est la même racine…
    
    Pour la première fois, je la surprends vraiment. J’en suis fière. Oh, juste le temps d’une seconde de réflexion.
    
    — Oui, je connais le mythe de la fleur et de la Nymphe, me renvoie- t-elle. C’est aussi le titre d’une série de tableaux. C’est à ça que vous comparez ma chatte ? À un nénuphar ?
    — Heu… Pour être sincère… oui… sans vouloir vous vexer… Je la trouve très belle, vous savez, me reprends-je, penaude.
    
    Elle me regarde pensivement, puis éclate de ...
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