1. Clémence, l’essor d’un amour


    Datte: 03/11/2024, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, fdanus, fouetfesse, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... rire.
    
    — Petite Chantal ! Tu es… Pardon. Vous êtes adorable d’ingénuité ! Vous savez pourtant qu’on les a traitées d’escalopes, mes hyper petites lèvres. J’aurais préféré qu’elles vous fassent penser à des ailes de papillon, mais non, je ne suis pas vexée !
    — C’est vrai ? Je… Pour moi, c’était affectueux.
    — Mais oui, j’aime bien. Nymphéas, c’est joli ! Tant que vous ne dites pas « nymphéasses » …
    
    Je ris aussi. Je l’assure que non, je n’aurais pas utilisé ce terme. Je n’y ai même pas pensé.
    
    — Et vous pouvez me tutoyer, ça ne me gêne pas, je vous l’ai dit, conclue-je.
    — Vraiment ? N’oublie pas que le tutoiement marque un rapport de maîtresse à soumise, me rappelle-t-elle.
    — Vous êtes un peu ma maîtresse, Colette, intellectuellement du moins. Vous m’enseignez.
    — Restons sur ce plan, alors, pour l’instant, admet-elle avant d’ajouter : tu n’as pas froid aux pieds, toi ?
    — Si, un peu. Je vais chercher des chaussettes. Vous en voulez aussi ?
    — Pas la peine. Je vais t’apprendre une bonne recette. Mon grand-père paysan se réchauffait les mains, l’hiver, au labour, en les glissant entre les cuisses du cheval. Mets tes petons contre mes nymphéas et tu les auras au chaud.
    — D’accord, si vous glissez vos pieds entre mes cuisses, réponds-je du tac au tac.
    
    Je suis surprise de ma hardiesse qui enchante Colette. Elle m’accueille contre sa chatte, je l’accueille contre la mienne. Mes orteils apprécient la tiédeur de leur nid, les siens sont froids au creux de moi. Je sens le ...
    ... moelleux de ses chairs, elle doit sentir l’humidité des miennes.
    
    Nos jambes s’entrelacent, il nous faut nous ajuster pour retrouver une position confortable. Une fois correctement installées, c’est un bonheur de sensualité. Colette se prépare à reprendre le fil de ses souvenirs, j’attrape crayon et cahier pour les noter scrupuleusement. Dans le mouvement, ma vulve frotte deux fois sur ses orteils. Deux pressions délicieuses…
    
    Je suis prête !
    
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    Après le spectacle de baise décomplexée prodigué par Clémence et son amant – ex-amant en l’occurrence – au bénéfice de Ève, la vie reprit son cours usuel pour les deux complices. Complices, car, de fait, elles l’étaient devenues et s’en félicitaient.
    
    Ève avait malgré tout été impressionnée par la sodomie. Le soir même elle voulut inspecter le trou du cul de Clémence. Une pénétration indolore par ce chemin ne lui semblait pas normale ni sans conséquence. Elle ne fut convaincue de l’absence de séquelles et de l’élasticité du conduit qu’après l’avoir éprouvée de son propre doigt. Clémence lui expliqua que l’habitude permettait d’accueillir un cylindre plus gros, mais que son index était déjà bien agréable. Pour le lui prouver, elle se masturba pendant qu’il était en place. La rapidité de l’orgasme et sa plénitude emportèrent les derniers doutes de Ève.
    
    De son côté, elle fit part le lendemain à Clémence de son avis sur les piètres compétences de son amant en matière de cunnilingus. À la ...
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