1. Clémence, l’essor d’un amour


    Datte: 03/11/2024, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, fdanus, fouetfesse, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... être examinée ainsi. Je me sens bête.
    
    Que m’avait-elle dit de sa présentation chez Ève ? Les mains à la nuque, le dos droit, les jambes écartées. Je monterais sur le canapé à défaut d’estrade, mais je n’ose pas. Je me contente de prendre la pose du mieux que je peux. Elle opine du chef avec un petit sourire cruel. Je sais que c’est le jeu, je frissonne pourtant. Elle a remis sa cape de cachemire noir, ses yeux me soupèsent comme si elle calculait les meilleurs endroits où me fouetter.
    
    — Tourne-toi ! Tends tes fesse !
    
    J’obéis. J’imagine son regard sur mon dos, sur mon cul…
    
    — Ouvre plus grand les jambes ! Penche-toi ! Mets les mains sur tes chevilles !
    
    J’obéis. J’attrape le bas de mes mollets, c’est tout ce dont je suis capable sans piquer du nez. J’imagine son air ironique, sa critique de mon absence de souplesse, ses yeux qui fouillent ma raie et ma fente…
    
    — Mains aux fesses ! Montre-moi ton trou du cul !
    
    J’obéis. Je m’écartèle le cul en chancelant. Je lui exhibe mon anus ouvert… Je mouille.
    
    — C’est bien ! Suis-moi !
    
    J’obéis. Je marche toute nue derrière elle en sachant qu’elle a vu ma chatte couler.
    
    J’ai toujours une sensation de malaise, qui ne devrait pas être pourtant, et en même temps j’ai l’impression de regarder cette situation avec détachement. Par exemple, je vois le ridicule de la silhouette échevelée de Colette. On est loin de la représentation parfaite de la Domina avec une telle chevelure séchée à la diable plusieurs fois ...
    ... !
    
    Nous passons devant la caisse à bûches. Elle est vide, le poêle ronfle. Ma maîtresse s’arrête devant la porte. Il pleut toujours. Elle chausse des sabots, passe un ciré et sort. Je la suis, je tends la main vers ma cape restée s’égoutter sous le porche.
    
    — Non !
    
    Elle m’entraîne et me pousse dans la cour. Les gifles de la pluie me frigorifient, mes seins se glacent, mon corps grelotte. Une forte claque réchauffe mes fesses.
    
    — Cours !
    
    Je cours. Mes pieds nus giclent dans les flaques. Je glisse, je manque m’étaler. L’eau ruisselle sur moi, mes cheveux dégoulinent, mes yeux se brouillent. J’atteins le bûcher, je suis à deux doigts de pleurer de froid, et de peur. Je tremble en essayant de récupérer deux rondins.
    
    Ma maîtresse arrive tranquillement, bien à l’aise dans ses sabots, bien à l’abri sous son ciré. Elle fait sauter le bois de mes mains.
    
    — Tends les bras !
    
    Je m’exécute, inquiète. Elle empile les morceaux dans le berceau que je lui offre. Mes bras faiblissent sous la charge. Je dois les serrer contre moi. Un téton se coince entre deux bûches. La douleur m’irradie, je serre les dents. Encore une bûche, je vacille. Elle ramasse une badine.
    
    — Va !
    
    Une brûlure cingle mon cul. Mon fardeau a failli m’échapper sous la surprise. J’évite de peu une dégringolade. Je trottine pesamment vers la maison. Si je ralentis l’allure, la badine me rappelle à l’ordre. Quatre ou cinq coups, je trébuche, piaille, me reprends, et me trouve enfin à l’abri. Je me déleste en ...
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