1. Clémence, l’essor d’un amour


    Datte: 03/11/2024, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, fdanus, fouetfesse, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... vitesse de ma cargaison. Je retire in extremis les orteils de la menace d’un lourd rondin. Je souffle.
    
    — On retourne !
    
    Je repars. Voyage aller, chargement, voyage retour, la scène se répète trois fois. Je suis en nage, mes jambes sont fatiguées, les écorces m’ont égratigné le ventre et les seins, mes deux tétons ont souffert d’écrasement, pas de jaloux ! Mes fesses, je ne le vois pas mais je l’ai senti, sont zébrées.
    
    — Ça suffit !
    
    Ma maîtresse est satisfaite de la quantité approvisionnée. Ouf ! Elle se débarrasse des sabots et du ciré, se met au chaud, commande d’un signe de la main. Oui, je lui passe les bûches, courbée vers le sol, mon cul exposé à la pluie. Elle les range une à une, sans se presser, près du poêle. C’est fini, je m’apprête à rentrer.
    
    — Attends !
    
    La pointe de la badine a heurté mon pubis. Je grimace. Trois centimètres plus bas, elle piquait mon clito. Une mare s’élargit sous moi, mes pieds sont boueux, mes mollets ne valent pas plus, l’eau qui me coule des épaules aux cuisses échoue à les nettoyer. Je comprends, j’attends, je frissonne.
    
    Ma maîtresse revient avec un broc et une cuvette.
    
    — Lave-toi !
    
    Un pied et puis l’autre dans la bassine, il faut un arrosoir de plus pour récurer complètement mes jambes. Penchée sur ma tâche, les fesses en l’air, les mèches de ma touffe pendouillant lamentablement entre mes cuisses, je suis pitoyable. Pas assez cependant, ni assez rapide pour m’épargner quelques incitations cuisantes à me ...
    ... presser.
    
    — Ça ira !
    
    Ma maîtresse étend une serpillière sur le seuil. J’entre, m’arrête sur le chiffon. Elle me jette une serviette, froide et rêche.
    
    — Sèche-toi !
    
    Inutile de me le dire deux fois, dès la porte refermée, je me frotte avec vigueur, un rictus aux lèvres quand le tissu agresse les zones sensibles où la peau est marquée par la badine ou par l’écorce. Tant pis, le traitement que je m’inflige a le mérite de faire oublier l’eau et le froid. Voilà, je suis bien sèche, bien propre, et déconfite. Je rends la serviette, assouplie et humide. Je tremblote encore.
    
    Je suis seule dans la cuisine, nue, abandonnée, interdite. Je ne sais quoi faire. Ai-je le droit de m’approcher du poêle ? La chaleur ambiante me réconforte un peu. Je m’examine : quelques rougeurs sur le ventre et sous les seins. Mes tétons semblent sortis sans dommage de leurs mésaventures. Ma touffe a repris à peu près contenance, mais ne pensons pas aux cheveux ébouriffés. Je passe une main prudente sur mon cul, m’attendant à y trouver boursouflures, voire égratignures et sang. Hé bien non, rien sous ni sur mes doigts, à peine des endroits un peu plus dolents à la pression, en haut des cuisses et à la pointe des fesses.
    
    — Alors, ma chère Chantal, comment avez-vous trouvé l’expérience ?
    
    Colette est là, un sourire jusqu’aux oreilles. Elle me couvre d’un épais manteau en peau de mouton retournée. Elle me frictionne les flancs et les reins à travers le cuir. Elle ne s’égare ni sur ma poitrine, ni sur mon ...