1. Storia di famiglia


    Datte: 13/10/2024, Catégories: fh, hplusag, alliance, amour, caresses, Oral pénétratio, diffage, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... délectation, malgré les zones bleues qui virent au noir bordé de jaune. Un point positif, la cheville est bien désenflée, même si les bandages laissent encore des marques et s’il lui est toujours impossible d’y prendre appui.
    
    — Tu te vois dans la glace ? Tu ressembles à un dalmatien. Je t’en veux d’avoir abîmé un si joli corps.
    — Tu es trop gentil, Franco. Je te demande pardon pour toute la peine que je te donne.
    — Rassure-toi, j’ai des compensations, lui dis-je en montrant mon sexe qui dilate le pantalon. Et puis tu t’es bien occupée de moi pendant des semaines et tu m’as sorti de ma torpeur. Juste retour des choses.
    — Oui, c’est fou comme on a besoin l’un de l’autre… Tu es un infirmier adorable et très adroit. Je vais bien mieux.
    — En revanche, je ne suis pas très bon cuisinier, je m’en excuse. À midi, ce sera encore des pâtes…
    — Bientôt, je vais pouvoir m’y remettre. Et puis c’est bon les pâtes.
    
    Au bout d’une semaine, elle peut marcher à cloche-pied et commence à se servir de son bras. Je ne suis plus obligé de la faire manger, et je ne fais plus que maintenir son équilibre dans ses déplacements, un soulagement pour mon dos. Je la soulève quand même pour monter dans la baignoire, car cette fois c’est grande toilette : une douche. À la fois pour lui éviter une nouvelle chute et pour suppléer à ses mouvements difficiles, je me déshabille et monte avec elle. Je lui lave la tête, penchée en avant et se tenant au bord de la main gauche, et puis je continue, sans ...
    ... lavette cette fois-ci. Hum ! Délice total que de laisser mes mains couvertes de gel errer sur cette peau tellement douce qu’elle est à peine perceptible. Elle ne proteste pas, alors j’y vais de bon cœur, pelotant ses seins à pleines paumes, glissant mes doigts dans les replis de son sexe et dans sa petite rosette. Elle se laisse faire les yeux fermés, le souffle profond.
    
    — Encore, Franco, encore… Continue, je t’en prie…
    
    Elle pivote d’un demi-tour et passe son bras valide autour de mon cou, se collant de profil contre moi. Ma main peut saisir à pleine paume son mont de vénus si saillant, laissant libres mes doigts d’explorer son intimité. Dans le même temps, mon autre main descend le long de son dos pour plonger entre ses fesses et envahir son anus. Son souffle s’accélère et elle gémit comme elle l’avait fait lorsqu’elle se donnait du plaisir en solo. Je penche la tête pour aller sucer son téton. Mes doigts s’emparent de ce clitoris énorme que j’avais aperçu, je n’en ai jamais vu d’aussi gros, et le font rouler tendrement. Une première salve de tremblements l’agite, elle respire un grand coup puis tout son corps se crispe en sursauts violents. Son bras me cramponne si fort qu’il m’étrangle. Enfin, elle devient toute molle contre moi, abandonnée.
    
    — Merci, tu es un amour, me dit-elle dans un souffle.
    
    Je la rince, la sort de la baignoire pour l’essuyer, je m’essuie aussi avant de la ramener au lit en clopinant. Elle pourrait se tenir à mon sexe tellement il est dur, à ...