Storia di famiglia
Datte: 13/10/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
alliance,
amour,
caresses,
Oral
pénétratio,
diffage,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... chaussures de neige glacée. Ce qui devait arriver arriva. Il suffit de la pente légère vers un égout pour que ses pieds se dérobent d’un coup. Elle tombe lourdement de tout son long sur le côté droit. J’ai bien du mal à la relever, elle souffre horriblement, grimaçant et criant dès qu’elle pose le pied par terre ou que je lui touche le bras.
Impossible dans ces conditions d’aller plus loin, ni même de rebrousser chemin. Il n’y a qu’une solution, que je la porte. Je lui fais mettre son bras gauche autour de mon cou et la soulève délicatement, mes bras sous ses fesses et ses genoux. Malgré mes précautions et tous mes efforts, elle pleure de douleur. Je repars vers la maison avec mon fardeau, marchant toujours avec précaution dans la neige fraîche. Je dois la poser un instant pour déverrouiller la porte, soulagement momentané avant de la porter jusqu’à son lit. Morceau de bravoure pour retirer ses vêtements un à un, quittant d’abord le côté gauche pour terminer en douceur du côté droit, lui causant des inspirations violentes, des cris et gémissements. Une fois presque nue, en culotte et soutien-gorge, le spectacle est assez désolant : sa cheville enfle à vue d’œil, et des hématomes se forment sur l’épaule, le coude, un énorme sur la hanche, des douleurs au poignet et une belle bosse sur la tempe. Je fouille l’armoire de médicaments, ne trouvant qu’un reste de pommade à l’arnica qui doit dater de l’enfance de Carlo. Je cours, ou plutôt patine, jusqu’à la pharmacie. J’en ...
... reviens avec un sachet de produits, antalgiques, bandes, patchs et pommades, et quelques recommandations. Masser, bander et surtout mettre de la glace sur la cheville et le poignet, même des paquets de petits pois sortis du congélateur. Et si toutefois ça ne désenfle pas au bout de deux jours, il faudra passer une radio, c’est potentiellement une fracture. Je me mets à l’œuvre immédiatement. Masser est tout d’abord impossible, je ne peux que l’effleurer, la caresser tellement elle souffre. Je n’ai pas trouvé de petits pois au congélateur, mais des haricots qui font aussi bien l’affaire, prenant bien la forme de la cheville.
Les soins sont une chose, mais il y a tout le reste…
— Franco ! J’ai besoin d’aller aux toilettes. Désolée…
Pas tant que moi. Je dois la porter jusqu’aux toilettes, l’aider à s’asseoir dans cet espace exigu, lui poser sa culotte et attendre qu’elle ait terminé. D’autorité, je décide : plus de culotte, c’est toujours une torture en moins, pour elle et pour mon dos, et moins compliqué. Le second jour c’est :
— Franco, j’ai besoin de me laver, je pue, je me sens sale.
Bien sûr. J’enlève tous les bandages et je la porte jusqu’à la salle de bains. Mais là :
— Franco, je n’y arriverai jamais toute seule. Tu veux bien m’aider ?
J’avoue prendre un plaisir immense à parcourir ce corps admirable, ces formes prodigieusement appétissantes, ce sexe et cette profonde vallée culière avec la lavette de toilette. Elle se laisse faire avec une certaine ...