Storia di famiglia
Datte: 13/10/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
alliance,
amour,
caresses,
Oral
pénétratio,
diffage,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... Peut-être, mais je n’y crois guère. Auquel cas, il serait toujours temps pour vous de louer le haut, et en attendant on reste tranquille chez nous.
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Depuis que je vais mieux, nous allons chaque semaine au cimetière nous recueillir sur le caveau familial. Bras dessus, bras dessous, sobrement vêtus de deuil. Les gens que nous croisons saluent notre douleur affichée et marquent leur respect par des « Signor Consigliere », auxquels je répondais en soulevant mon chapeau noir avec une légère inclinaison de la tête. Roberta se dit toujours impressionnée par les marques de respect de ces gens à mon égard. Un jour en revenant, je fais cette remarque à ma belle-fille :
— Tu ne devrais pas garder ces collants noirs toute la journée, ils me rendent triste.
En fait, je trouve surtout que ça ne lui va pas. Elle a beau avoir la stature d’une sportive, elle ne fait jamais le moindre exercice et bien peu d’efforts physiques. Et si ses cuisses sont charnues, ses mollets au contraire sont fins et peu développés. Or le noir, c’est bien connu, affine les silhouettes. Ces collants donnent l’impression qu’elle a des jambes maigres et de gros genoux, impression qui disparaît lorsqu’elles sont nues. À ma grande stupéfaction, elle remonte sa jupe, extirpe le collant du bassin, s’assoit sur une chaise, fait tomber ses chaussures, lève haut la jambe et fait rouler lentement tout le long le petit boudin de nylon noir. Son geste élégant et la vision qu’elle m’offre sur sa ...
... microscopique culotte d’où dépassent quelques poils me donnent soudain l’impression que de la lave coule dans mes veines. Mon ravissement n’a d’égal que mon érection.
— Et comme ça ? Vous n’êtes plus attristé ?
— Non, réponds-je en avalant ma salive avec difficulté. Plus du tout… Mais tu devrais mettre des bas plutôt que des collants, c’est tellement plus… élégant.
— J’en ai, pas de souci, désormais je bannis les collants.
— Très bien, mais évite le noir, inutile que de telles jambes soient elles aussi en deuil.
Nous allons comme ça de petites provocations en situations ambiguës, mais aucun n’ose franchir le pas, surtout pas moi. Je crains une réaction vive contre une attitude de « vieux cochon » qui précipiterait son départ. Je n’ai pas envie qu’elle parte, car sans elle… je n’ose l’imaginer. Il fallait un événement déclencheur, et il survient à l’entrée de l’hiver, très précoce cette année. Il a neigé la veille au soir, mais elle ne tenait pas et fondait au fur et à mesure. Avec la nuit, une bonne gelée permet à la neige de se fixer et nous nous réveillons avec quelques centimètres. Pas de quoi renoncer à notre sortie hebdomadaire au cimetière, même si Roberta ne dispose pas de brodequins, comme moi. Elle décrète que ses chaussures de ville à gros talons suffiront. Pour une fois, nous ne nous tenons pas le bras, trop occupés à tenir l’équilibre. Je marche dans la neige fraîche, plus stable, elle préfère progresser sur les traces de roues pour ne pas remplir ses petites ...