1. Vie(s) quotidienne(s)


    Datte: 11/09/2024, Catégories: ff, fff, fplusag, gymnastiqu, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, sm, donjon, fouetfesse, piquepince, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... agrès disponible. Les deux qui ne travaillaient pas en profitaient pour se défier à des jeux d’endurance. Cette saine émulation favorisait, selon la méthode Diotime, l’appropriation de la formation.
    
    Le phénomène de la mode dominait, comme partout. Elle était aux pinces à l’arrivée de Colette. Un présentoir de la salle de sport en exposait une abondante collection, de la banale pince à linge en bois jusqu’à une paire de fortes serres dotées de ressorts impressionnants. Leurs mâchoires métalliques, quoique doublées de caoutchouc, avaient de quoi en dissuader l’expérience. Pourtant, Maîtresse Roxane, l’amie domina Belge de la Maîtresse qui les avait offertes, affirmait qu’elle en utilisait parfois de semblables dans son donjon de la banlieue de Bruxelles.
    
    Outre ces spécimens réservés à des soumis et soumises exceptionnellement endurants, on trouvait tout un assortiment de petites et grandes pinces à dessin, des pinces à cheveux de diverses tailles aux dents pointues, ou de fines pinces crocodiles spécifiques des circuits électriques, pour donner quelques exemples d’usage ordinaire. La règle commune voulait que chacune s’astreigne spontanément à supporter de façon régulière chacun des modèles courants, et au moins une fois par semestre l’une des pinces spéciales durant quelques secondes. L’endroit de sa pose, poitrine ou sexe, relevait du choix personnel de la volontaire.
    
    À cette collection s’en ajoutait une autre, complémentaire, de poids en acier poli de volumes ...
    ... divers. Les plus légers n’accusaient que cent grammes, les plus lourds atteignaient le demi-kilo. Leur combinaison permettait d’accroître progressivement l’effet des pinces ou d’alourdir leur traction jusqu’au décrochement. Un cintre à jupes apportait une touche ludique. Un filet suspendu au crochet proposait d’amusantes variations aux accessoires classiques.
    
    Les autres instruments traditionnels restaient bien sûr à la disposition des joueuses. Un éventail de cravaches diverses, fouets à lanières simples ou multiples, paddle, badines et cannes s’exposait sur une panoplie fixée au mur. Au-dessous, un jeu de dés attendait dans son plateau posé sur une console. Les lancers avaient pour but, soit de désigner qui prendrait la main, soit de déterminer le matériel à utiliser et la partie du corps où l’appliquer, soit encore de fixer le nombre de pinces ou de coups à supporter par la perdante.
    
    Bref, tout était prévu pour donner un caractère récréatif, par la variété et l’incertitude des possibilités, à une phase essentielle de l’apprentissage à l’autonomie des Converses. (Pour une Novice – Colette l’apprit plus tard – c’était une récompense et un honneur d’être conviée à partager ces jeux.) Une seule restriction leur était imposée : l’usage d’aiguilles ou similaire n’était praticable que par une Maîtresse, ou sous l’autorité de celle-ci.
    
    Après cet intermède, de divertissement pour les unes, de travail éreintant pour l’autre, la troisième étape entrait dans le vif du sujet. ...
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