1. Vie(s) quotidienne(s)


    Datte: 11/09/2024, Catégories: ff, fff, fplusag, gymnastiqu, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, sm, donjon, fouetfesse, piquepince, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Quasiment au sens propre si l’on considérait cela du point de vue de Colette. D’abord obligeamment, mais fermement, maintenue par les Converses, puis seule ensuite, elle devait offrir à Maîtresse Irène l’endroit de son anatomie que cette dernière avait choisi comme cible. Au début, ce fut pour de petites séries cinglantes indifféremment distribuées sur les épaules, le ventre, les reins, les seins, les fesses, le pubis, les cuisses ou la plante des pieds, avec tout l’éventail des instruments précités.
    
    La mise en bouche terminée, Maîtresse Irène passa aux choses sérieuses. Colette s’était suffisamment affermie entre temps pour supporter une succession de plus en plus longue de coups de fouets ou autres outils n’importe où sur son corps. Les zones concernées différaient d’ailleurs chaque jour pour endurcir sans blesser outre mesure. Enfin, le grand moment arriva où sa chatte reçut à son tour les vrais baisers du cuir et du bambou. Puis, ses tétons et ses lèvres connurent également les attouchements acérés des pinces plombées et des aiguilles hypodermiques.
    
    Tout en officiant avec talent et science sur Colette, Maîtresse Irène dirigeait les sévices que s’échangeaient les Converses dans leurs travaux de perfectionnement. Ceux-ci comprenaient différentes alternatives. Par exemple, deux d’entre elles devaient s’affronter à distance dans le maniement du fouet long sous l’arbitrage de la troisième. Ce pouvait au contraire être un corps à corps, à la cravache ou à la palette de ...
    ... cuir souple, liées l’une à l’autre soit par un bras, soit par des chaînettes à pinces aux tétons ou aux lèvres, voire les quatre. Moitié par précaution, moitié pour corser la manœuvre, les coups au-dessus des seins et au-dessous des genoux étaient interdits. Les erreurs, notées par l’arbitre, et si besoin les siennes, donnaient lieu à sanction en fin de séance.
    
    Celle-ci s’achevait par la désignation d’une Converse qui s’exerçait pendant un quart d’heure à la domination sur Colette. Maîtresse Irène la guidait et la conseillait avant de rassembler les stagiaires pour une évaluation à chaud pendant un autre quart d’heure. L’éventuelle punie y participait à cheval sur la poutre triangulaire ou sur la boucle de la chaîne accrochée au plafond. À midi, toutes partaient se doucher au jet dans le jardin, ou exceptionnellement dans la buanderie l’hiver, par temps trop froid, puis chacune sauf la Novice se rhabillait.
    
    Le déjeuner se prenait à douze heures trente dans le réfectoire, salle découverte en invitée par Colette le jour de son intronisation. Depuis, c’est elle qui, quelle que soit sa fatigue, servait le repas préparé par Clémence, ou, lorsque cette dernière avait suivi l’entraînement du matin, faisait le service du buffet froid. Un coin de table lui était octroyé pour se restaurer entre deux prestations. Curieusement, ce n’étaient pas ces obligations qui la gênaient le plus, mais la contrainte du cadenas qui l’empêchait de croiser les cuisses en s’asseyant, habitude héritée ...
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