Vie(s) quotidienne(s)
Datte: 11/09/2024,
Catégories:
ff,
fff,
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gymnastiqu,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
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Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... rejoignait avec la Maîtresse qui tirait au sort la direction de la séance avec ses Sorèles. Les perdantes se dénudaient et dans ce cas la Maîtresse redevenait Ève le temps de sa présence. Son anatomie détaillée fut ainsi en peu de mois parfaitement connue de Colette.
L’entraînement commençait par des exercices d’échauffement et d’assouplissement, pratique que Colette avait conservée bien après être sortie du métier. Maîtresse Irène, qui officiait donc la plupart du temps, dirigeait les mouvements dans l’un de ses justaucorps chatoyants évoquant un dompteur de cirque. Image que complétait la longue chambrière dont elle usait pour rectifier d’un coup cinglant et précis les postures incorrectes ou trop indolentes. Issa et Clémence souffraient rarement de ces rappels à l’ordre, Jenny plus souvent. Colette, peu au fait de la gymnastique à l’époque, y fut largement abonnée dans ses débuts.
Il arrivait que Maîtresse Irène éprouvât elle-même le besoin de s’assouplir et de se détendre. Elle répondait alors au premier en exécutant sans son costume les exercices avec ses élèves. Quant au second, il appartenait à la Novice de le satisfaire lors de la pause par une minette revigorante suivie d’un léchage soigneux pour éliminer toute trace de sucs particulièrement sous les aisselles, dans le pli des aines et le sillon culier. Après quoi, Maîtresse Irène pouvait se rhabiller et poursuivre la session sans crainte de souiller son linge.
La seconde étape était plus spécialement ...
... destinée à Colette. La séance de présentation et les examens d’entrée en Noviciat avaient mis en évidence la mollesse de ses muscles ainsi que son manque de tonicité et d’endurance. Maîtresse Irène veillait donc à ce qu’elle consacre une à deux heures chaque jour, dimanche compris, dans le travail aux divers agrès propres à renforcer dorsaux, tenseurs, adducteurs et abducteurs ou autres abdominaux. Elle y fatiguait et suait d’abondance, tandis que les autres, même Clémence, n’utilisaient ces appareils que pour s’entretenir.
Ses supérieures ne se privaient pas d’ailleurs de la brocarder pour les flaques de transpiration qu’elle avait abandonnées sur les sièges, voire de lui ordonner de les nettoyer avec sa langue avant de poser leurs fesses dessus. Quelques caresses appuyées de la chambrière sur les siennes avaient vite eu raison de ses premières velléités de refus. Elle se résigna d’abord à ces taquineries sous la contrainte, puis, rapidement, elle prit goût au rituel, d’autant plus volontiers que l’une ou l’autre des Converses lui demandait souvent d’éliminer les traces laissées par son propre fondement lorsqu’elle cédait la place à une compagne.
Maîtresse Irène notait attentivement les progrès de Colette qu’elle n’hésitait pas à encourager d’un claquement de mèche bien placé sur les seins, le ventre, les fesses, les cuisses, ou entre elles… Pendant que la Novice s’évertuait à rattraper une forme physique trop négligée, Aloïse, Jenny et Issa se succédaient sur tel ou tel ...