1. Vie(s) quotidienne(s)


    Datte: 11/09/2024, Catégories: ff, fff, fplusag, gymnastiqu, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, sm, donjon, fouetfesse, piquepince, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Comtesse, Colette dut se coucher sur les genoux de sa Maîtresse pour recevoir sa punition, forcément à cul nu vu l’état de nudité imposé aux Novices. Les mains d’Ève s’abattirent soixante-quatre fois, ce qui donne une idée des premières notes reçues. Durant la fessée, outre l’humiliation, la pénitente se préoccupait de l’importance des prochaines, se souvenant parfaitement de son inattention dans les lectures et les rédactions des jours présents et passés. Pour l’avenir, elle n’espérait guère arriver à éviter les punitions et s’estimerait heureuse si elle parvenait à descendre au-dessous de la cote de dix, pour chaque matière évidemment…
    
    Le courrier du lendemain apporta des notes meilleures, l’une d’elles atteignant même la moyenne, en orthographe certes, mais c’était déjà un petit succès. Ce fut cependant une fessée publique à soixante-huit claques, les sujets corrigés étant plus nombreux. La situation se répéta à l’identique, avec des scores en dents de scie, dans les semaines suivantes. La peau des fesses de Colette était donc parfaitement endurcie lorsque sa Maîtresse dut en venir à la canne, autrement plus agressive.
    
    La fin de la convalescence marqua le début effectif de la formation de Novice. Colette avait apprivoisé son cadenas, ou tout au moins s’y était habituée. Sa démarche restait mal assurée, mais on ne lui demandait pas de courir le cent mètres. C’était plutôt au lever que la chose se rappelait à elle : oublier d’écarter les cuisses lui garantissait une ...
    ... traction douloureuse sur les nymphes au saut du lit. Et à six heures du matin, elle n’avait jamais les idées très claires.
    
    Le réveil sonnait donc tôt au Domaine Diotime. Le premier travail de la Novice était de mettre le couvert du petit-déjeuner et de le servir à la Maîtresse et aux Sorèles. Ce n’est qu’ensuite qu’elle avait accès à la salle de bain commune, réservée en priorité aux Converses. À elle de se débrouiller pour faire patienter la nature. Les premiers temps, Colette frôla plusieurs fois la catastrophe durant son service. Celui-ci terminé, elle disposait d’une petite heure pour se préparer et se restaurer, si toutefois l’une ou l’autre de ses supérieures ne faisait pas appel à elle pour une distraction sexuelle. Quoi qu’il en soit, ventre vide ou non, Colette devait se trouver propre et apprêtée à sept heures quarante-cinq précises dans la salle de sport, avec Jenny, Issa et Aloïse.
    
    Maîtresse Irène s’y trouvait déjà, la montre à la main, attendant ses ouailles. Tout retard de plus d’une demi-minute valait un coup de fouet par tranche de dix secondes (la tranche entamée étant due, bien sûr), la Maîtresse le distribuant au gré de sa fantaisie sur le corps de la coupable. Les Converses se présentaient en tenue de sport – c’est-à-dire sans – et pieds nus également, ce qui apportait un semblant d’égalité entre Colette et elles. Deux ou trois fois par semaine, Clémence les accompagnait dans le même appareil. Le samedi, si rien ne s’y opposait, Maîtresse Gwladys les ...
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