1. Vie(s) quotidienne(s)


    Datte: 11/09/2024, Catégories: ff, fff, fplusag, gymnastiqu, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, sm, donjon, fouetfesse, piquepince, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... d’une jeunesse pudique –(oui, je sais, moi aussi cela m’a étonnée. N.D.L.N.) – qu’elle avait conservée.
    
    Un temps de repos était ensuite accordé à la Novice comme aux Converses jusqu’à quatorze heures trente. Chacune d’elles devait alors être présente à son bureau pour une période de studieux labeur intellectuel. Les quatre heures, quatre heures et demie au maximum, qui lui étaient consacrées suffisaient difficilement à l’assimilation des nombreuses matières proposées et à la rédaction des devoirs scolaires exigés. Colette se trouva souvent à court de temps, obligée de sacrifier une partie de la nuit au rattrapage de son retard. Néanmoins, sa bonne volonté, son assiduité, et les effets bénéfiques de la méthode éducative en vigueur, améliorèrent progressivement la situation.
    
    Reprenant sa fonction officielle de Gouvernante, Madame Irène employait son après-midi à la gestion du Domaine et de la maison. Il était rare qu’elle vînt troubler le travail des élèves. De son côté, Clémence assumait sa tâche de Cuisinière en s’occupant des commandes et en vérifiant les livraisons. Vers dix-neuf heures, la Notaire et sa Collaboratrice revenaient de l’Étude et le nouvel épisode du quotidien commençait par un rapport sur les activités du jour.
    
    Les Converses et la Novice, ainsi qu’à l’occasion Clémence, attendaient dans la grande salle qu’il soit statué sur leurs mérites ou leurs écarts. Lorsque Me. L*, muée en Maîtresse, paraissait, sa tenue indiquait ses intentions. Un peignoir ...
    ... léger ou un kimono négligemment entrouvert annonçait la récompense de la plus méritante qui aurait le bonheur de lui faire oublier les soucis de la journée, et accessoirement de lui épargner une toilette intime.
    
    Le bustier noir, par contre, ne présageait rien de bon pour celle qui, involontairement ou non, s’était défavorablement distinguée. Maîtresse Irène ou Maîtresse Gwladys la désignait et, pendant qu’elle se mettait nue, l’informait du délibéré précisant la faute et la sanction. La punition consistait ordinairement en trente flagellations des fesses, vingt des seins ou dix du sexe, appliquées selon le bon plaisir de la Maîtresse par elle-même, une Sorèle, voire l’une des autres présentes. Cet honneur revint d’ailleurs quelques fois à Colette encore Novice.
    
    Mais pour cette dernière, la réunion de fin d’après-midi annonçait généralement la fessée. Malgré ses efforts, elle tournait à une moyenne journalière de trente claques sur son cul, déjà souvent malmené par l’entraînement du matin. Pour accroître le sentiment d’humiliation, la Maîtresse déléguait volontiers l’exécution à la jeune Aloïse, et celle-ci n’était pas la plus tendre des fesseuses. Au moins Colette avait-elle réussi à ne mériter la canne qu’à quelques reprises, qui l’avaient laissée incapable de s’asseoir sans douleur pendant deux jours.
    
    Néanmoins, ce moment redouté lui réservait parfois d’agréables surprises. Par exemple, lorsqu’était apparue l’arrogante nudité de Gwladys – elle n’avait plus droit au ...
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