1. Où Marie apprend


    Datte: 19/08/2024, Catégories: f, fff, fplusag, vacances, voiture, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, Oral uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Hé, ma puce, tu veux me coucher sur les kermès ?
    — Ah, c’est vrai… Ben, sur le siège arrière, alors !
    
    Elle me pousse sur le côté, ouvre la portière sans s’occuper de mon rire surpris et m’expédie à l’envers sur les coussins. Je suis trop interloquée et attendrie pour lui résister. Elle remonte mes jambes, les repousse sur ma poitrine et… bon, la suite se devine. Moi, je devine son cul qui dandine dans son gougnottage endiablé. Me faire bouffer la chatte par une fille sur la banquette arrière, je ne l’avais jamais imaginé dans mes fantasmes d’adolescente fofolle !
    
    Elle a relancé derechef son léchage. Tout y passe, mes fesses, mon sillon, mon œillet, mes cuisses, mon périnée, mes grandes lèvres gonflées, mes petites lèvres mouillées, et mon clito dardé. Elle ponctue ses coups de langue d’exclamations gourmandes et de commentaires enjoués. Je suis sucrée, acide, suave, salée, poisseuse, visqueuse, musquée, crevette, miel, et j’en passe ! Je ressens et j’écoute sans plus de honte que hier soir. Je me laisse laver, manger et déguster, en pleine conscience : seul compte mon orgasme qui monte.
    
    Ma vulve renouvelle, à peine nettoyée, la mouille que sa bouche assidue avalait. J’explose quand la goule se rive à mon bouton. Je crie, je hurle, pleure, et en perds la raison. Enfin, du moins, je crois, et c’est Marie qui rit !(Arrête, ma chérie ! Arrête ! J’ai joui !) Mais elle continue, sans question ni repos, et c’est moi qui gigote et me tords sur le dos.
    
    Un coup de klaxon ...
    ... ! Je sursaute, un tas d’idées me traversent la tête. Je cherche l’importun qui déclenchera le scandale ou pire. Autour de moi le vide, entre mes cuisses rien. Le soleil qui descend m’inonde entre les arbres. Où est passée Ma…
    
    TSOIN !
    
    — Et zut ! !
    
    La bouille de Marie émerge renfrognée au-dessus du dossier qui me l’avait masquée.
    
    — C’est mon coude, m’explique-t-elle. Bon sang, ça fait deux fois !
    — Mais qu’est-ce que tu fabriques ? m’enquiers-je rassurée.
    — Ben, j’essaie de mettre la serviette sur les deux sièges. Vous dormiez, alors…
    — Non. Je récupérais. Tu m’as épuisée, tu le sais ? Vannée, aspirée, vidée !
    — Ben, c’était bien mon tour, non ?
    
    Elle est aux anges. Je reconnais que la timide brunette d’il y a quinze jours, qui détournait en rougissant les yeux dès qu’elle entrevoyait la marque d’un téton sur mon paréo, a bien acquis les valeurs du saphisme. Je dois même avouer qu’elle a progressé plus rapidement que moi dans cet apprentissage. C’est normal, la jeunesse apprend plus vite. Et quand les digues de la pruderie tombent, le flot des désirs s’engouffre dans la brèche. Ou dans la chatte !
    
    — Bon, c’est pas tout, ça ! Il faut repartir. Les robes sont sèches ?
    — Oui. On les remet ?
    — Qu’est-ce que tu en penses ?
    — Ben, j’aime bien sans. J’aime bien voir bouger vos seins quand vous conduisez, mais il vaut peut-être mieux ne pas être nues quand on arrivera chez Madame Colette, non ?
    — Elle ne s’en plaindrait pas, j’en suis sûre ! D’un autre côté, on ...
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