1. Où Marie apprend


    Datte: 19/08/2024, Catégories: f, fff, fplusag, vacances, voiture, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, Oral uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... le domaine de Colette. Nous pouvons mettre nos robes à sécher par la fenêtre sans risquer de créer un scandale.
    
    Ce qui ne sèche pas, par contre, ce sont les serviettes éponges. Elles étaient déjà imbibées de transpiration. Les privautés que Marie s’arroge sur mes seins et entre mes cuisses, depuis que nous avons quitté la route nationale et les robes, n’arrangent rien. La mienne comme la sienne d’ailleurs – virages ou non, elle joue d’une main à elle sur moi et d’une main à moi sur elle – se chargent d’une humidité supplémentaire. Leur rôle de protection des sièges ne sera bientôt plus qu’une illusion.
    
    Au premier relard accessible sur le bas-côté, je range la voiture.
    
    — Va prendre une serviette de plage dans le coffre, ma puce, s’il te plaît.
    — Toute nue ?
    — Ben voui, y a personne. Et même !
    
    Là, j’exagère un peu, mais ça la fait rire. Elle sort. Je la vois trottiner vers l’arrière. Je la perds derrière le coffre ouvert. Elle ne se presse pas. Je l’imagine en train de fouiller, son joli cul en l’air. Espérerait-elle qu’un quelconque véhicule se présente ? En tout cas, ça dure ! Je surveille dans le rétroviseur. Ah, la voilà qui réapparaît en jetant un coup d’œil derrière elle. Pour se rassurer ou par dépit ? Elle me tend le tissu salvateur par la portière ouverte.
    
    — C’était tout au fond, m’explique-t-elle avant d’ajouter un énigmatique : je vais en profiter.
    
    Profiter de quoi ? Bon, de toute manière il faut que je sorte aussi pour installer la nouvelle ...
    ... serviette sur les deux sièges. C’est moi qui risque de montrer mon cul à la route, maintenant. Je contourne le capot pour respecter les règles de prudence. Tiens donc ! Ma Marie est tout simplement à croupetons dans la broussaille rase pour un gros pipi. Les genoux bien écartés, elle tire tant qu’elle peut sur les longues nymphes de sa craquette, un sourire aux lèvres.
    
    — Vous voyez, Chantal, j’ai bien retenu vos leçons !
    
    Ma foi, ce doit être comme pour le rire, c’est communicatif : je ressens soudain un besoin pressant, moi aussi. Je me faisais une joie de pisser chez Colette, mais autant accompagner la gamine pour qu’elle – j’ai lu ça quelque part – ne se sente pas en Suisse. Elle accueille ma miction avec satisfaction, et a le tact de ne pas se relever tant que je n’ai pas épuisé mon jet. Soit dit en passant, je n’aurais jamais cru contenir un tel volume malgré la transpiration du trajet. Ça n’en finit pas et les feuilles de kermès qui me piquent les fesses renvoient des éclaboussures sur mes jambes.
    
    — Ben oui, j’ai eu le même problème, compatit Marie en constatant les dégâts.
    
    J’ai toujours la boule des serviettes humectées à la main. Je m’en sers et la lui tends.
    
    — Tiens. Un peu plus, un peu moins…
    
    Elle s’essuie quand un bruit de moteur puissant nous incite à nous abaisser en catastrophe. Un tracteur passe lentement, son pilote examinant tout à loisir cette voiture « étrangère » immobile. De là-haut, il doit deviner plus ou moins deux touffes de cheveux à ...
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