1. Où Marie apprend


    Datte: 19/08/2024, Catégories: f, fff, fplusag, vacances, voiture, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, Oral uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... le cœur du problème.
    
    Marie a l’obligeance d’épanouir elle-même sa marguerite, me permettant ainsi de conserver mon équilibre, agrippée à ses hanches, et d’user sans contrainte de ma bouche. Évidemment, son geste a dopé l’exhalaison des remugles. Je débute par un prudent nettoyage du périnée qui a concentré et la rencontre des épines et l’accumulation des diverses coulures. Il s’en tire miraculeusement intact, non sans me dispenser une saveur bien marquée.
    
    Je continue sur les grandes lèvres, la langue bien à plat, attentive à la moindre aspérité qui trahisse la présence d’une pointe récalcitrante, mais seule une légère fadeur ferreuse s’ajoute au fumet ambiant. Rassurée par la bénignité des piqûres, je poursuis ma tâche en insistant soigneusement dans les replis poisseux où s’amorcent les nymphes. Sur celles-ci, je suis encor plus douce, elles sont plus sensibles si j’en crois les soupirs et bien plus odorantes de senteurs ruisselantes.
    
    Voilà, elles sont propres. Ma prophylaxie buccale les protège de toute conséquence sauf de l’orgasme que Marie m’offre dès que mes suçotements obstinés atteignent son clitoris. Tant mieux : sa mouille neuve parfait mon toilettage. Je me remets debout, je suis fière – enfant déjà, me voyais infirmière… non, je plaisante. – et Marie est ravie. Mon baiser recueille ses ronronnements satisfaits.
    
    Ce n’est qu’en partageant avec elle les fruits parfumés de ses divers écoulements que je prends conscience du temps écoulé à découvert depuis ...
    ... son épreuve buissonnière. Combien ? Cinq minutes ? Dix ? Plus ? Si une voiture est passée, nous ne l’avons pas su. Je réprime une inquiétude rétrospective pour engager Marie à reprendre notre route. Ce n’est pas son idée.
    
    — Voyons, Chantal, je suis sûre que vous avez transpiré plus que moi. Vous ne pouvez pas conduire dans cet état. Laissez-moi vous rafraîchir à mon tour.
    — Mais, ma puce, nous serons arrivées d’ici une demie heure
    — Justement ! Ce ne serait pas correct de vous montrer toute mouillée chez Madame Colette.
    — Bof !(Si elle savait que cette perspective m’excite…)
    — Chantal… s’il vous plaît !
    
    Son alternative est malgré tout tentante. Lui céder l’enchanterait. M’humilier devant Colette n’en serait que partie remise. Donc, j’accepte, sous réserve que nous nous dissimulions au moins du bon côté du véhicule. Que n’ai-je pas dit ! Elle me plaque aussitôt contre le métal tiède et s’empare de mon cou à bouche que veux-tu.
    
    Elle lèche, elle lèche, elle lèche. De l’oreille au collier, de la gorge au menton, de la nuque à l’épaule, d’un côté et de l’autre, dessus dessous les seins et entre, du nombril aux aisselles, sur le pli de mon ventre, sa langue me parcourt et me fait frissonner. Elle est insatiable et plus, rien ne l’arrête. Ni sueur ni poussière, ni poil ni téton, ne peuvent endiguer sa passion dévorante. Lorsqu’elle stoppe enfin, c’est pour mieux réclamer.
    
    — Voilà ! Le haut est fait. Vous étiez très salée. Il me reste le bas, Chantal. Allongez-vous.
    — ...
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