Où Marie apprend
Datte: 19/08/2024,
Catégories:
f,
fff,
fplusag,
vacances,
voiture,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
Oral
uro,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... l’ongle, et la montre ostensiblement. Chacune, même Anaïs, en admire la viscosité translucide. Marie retient sa respiration quand d’autres doigts curieux se promènent autour de son con.
— L’entaille est onctueuse et délicieusement odorante, reprend Colette en approchant le nez, mais bien étroite. Tu es vierge, ma belle ? Non, ne réponds pas, laisse-moi voir.
Marie hoquette quand un majeur prudent pénètre son intimité. Elle retient son souffle quand il s’enhardit à explorer et élargir l’orée du vagin. Elle expire un soupir frustré quand il se retire prospection faite.
— Non, tu n’es pas vierge, en conclut l’inspectrice. Mais à mon avis, ta minette n’a pas souvent vu de queue… Quand pensez-vous, les filles ? Dites-moi si je me trompe.
— En effet, confirme Janine après palpationin situ. Cette demoiselle semble être plus sensible au broute-minou qu’à la pénétration virile. Mais il faudrait encore d’autres vérifications pour en être absolument certaine…
Les doigts se succèdent dans le con de Marie et ses gémissements se précipitent au rythme des allées et venues qui s’accélèrent. Leurs bruissements humides augmentent, témoignant des progrès de l’excitation et du flux de cyprine. Un parfum de rut nous enveloppe. Des exclamations ravies fusent des bouches gourmandes qui se délectent des saveurs qu’elles goûtent. Marie clame ses cris de plaisir sans vergogne, ma chatte coule seule et mes seins me font mal, et Anaïs s’emmure dans un désir honteux que remarque ...
... Colette.
— Eh bien, ma chérie, tu n’as pas envie de vérifier, toi aussi ? Tu vas vexer Marie, rit-elle. Regarde-la de près, au moins, sa jolie minette ! Vois comme elle coule. Pour toi, qui sait ?
Elle a joint le geste à la parole. Ses mains ouvrent largement l’entaille déjà trop fouillée. C’en est trop aussi pour Marie, elle sursaute dans un jappement aigu et vacille en expulsant un flot de mouille dont les éclaboussures constellent les visages qui scrutent sa chatte. Sans le secours de mes bras, elle s’effondrerait comme une masse. Les spasmes de l’orgasme la secouent longuement, bien après que les dernières gouttes de cyprine soient taries.
Anaïs s’est statufiée, ahurie de surprise. Son air incrédule suscite le rire bienveillant de ses aînées qui complimentent et applaudissent Marie, accrochée à mon cou, l’esprit vide de tout.
— Un beau spectacle et un joli baptême, commente malicieusement Andréa.
— Dont il faut féliciter nos deux jeunes amies, ajoute Martine.
— Et remercier Chantal et Colette de nous l’avoir offert, précise Janine.
Je ne peux, hélas, répondre comme il se devrait à ces remerciements, occupée que je suis à embrasser Marie pour lui rendre la vie. Ma bouche affectueuse la ranime et sa langue frétille enfin au contact de la mienne. Colette non plus n’a pas le loisir de parler. Ses lèvres, à petits bisous tendres, nettoient les gouttelettes sur les joues d’Anaïs. Son clin d’œil complice me réjouit et je me promets de lui faire déguster dans son entièreté ...