1. Où Marie apprend


    Datte: 19/08/2024, Catégories: f, fff, fplusag, vacances, voiture, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, Oral uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... à Marie. La pauvrette n’ose rien montrer de son étonnement, mais ouvre de grands yeux devant l’étrange aménagement de la salle dont les murs se décorent d’instruments aussi surprenants pour elle qu’inquiétants.
    
    Lorsque notre hôtesse l’invite comme par plaisanterie à monter sur l’estrade qui trône au milieu de cette vaste pièce, Marie accepte en riant, par crânerie ou par innocence. Si elle n’y voit pas malice, je me doute, moi, de la suite qui se prépare. D’ailleurs, le cercle des invitées qui l’entourent à présent suffirait à me remémorer l’accueil d’une novice au Domaine Diotime.
    
    — Ma chère Chantal, le moment me semble venu de nous présenter votre charmante jeune compagne, déclare suavement Colette. Le voudriez-vous ?
    
    J’apprécie ce mélange de délicatesse et de souhait impérieux. Je cherche le regard de Marie avant d’accepter. Elle a pâli, devinant le sens donné en l’occurrence au verbe présenter. Elle y consent pourtant, répondant d’un battement de paupières à mon interrogation muette.
    
    — Je m’en ferai un plaisir, chère Colette, souris-je pour me prêter également à ce jeu de faux semblants. Les amies ne doivent rien se dissimuler, n’est-ce pas ?
    — En effet, approuve-t-elle. Dans ce cas, nous ferez-vous la grâce de rejoindre Marie ?
    
    Et toc ! Je crois bien être encore une fois prise à mon propre piège…
    
    Anaïs nous considère les unes et les autres d’un air perplexe. Je quitte son bras pour assumer mon rôle, double rôle probablement, auprès de Marie qui me ...
    ... voit me hisser près d’elle sans pouvoir réprimer un frisson. Au bas de notre piédestal, cinq paires d’yeux nous contemplent, et suivent avec intérêt le mouvement de mes mains remontant lentement la robe sur le corps de ma « charmante jeune compagne ».
    
    Les cuisses apparaissent, puis les fesses. Marie pose son front sur mon épaule, elle tremble. Je révèle son cul et sa chute de reins, son dos enfin, jusqu’aux aisselles où je m’arrête. Elle comprend et se recule. Ses joues sont rouges entre ses bras levés. Je relève les miens et la robe s’envole. Marie est nue, sa poitrine et son ventre encore abrités par ma proximité. Par réflexe pudique, elle couvre ses seins de ses paumes. Je saisis ses poignets et les immobilise.
    
    Sa bouche entrouverte respire à petits coups. Je ne vois, mais devine ses fesses se crisper. Il faut que sa respiration se calme pour que tout doucement j’amène ses bras sur sa nuque et les croise. Son buste se redresse, sa taille se cambre, ses mamelons pointés frôlent ma robe. Alors, tout aussi doucement, je la fais pivoter face à son public de voyeuses qui la dévorent du regard.
    
    Je la laisse un moment toute droite exhibée, les chevilles écartées, son sexe dévoilé, son ventre palpitant, ses globes frémissants et ses tétons dardés. Puis j’appuie tendrement mes mains sur ses épaules, et, progressive, mais ferme, je pèse lourdement sur elle, l’invitant d’un murmure à se mettre à genoux sur le bord de la scène. Elle est sans résistance, confiante, abandonnée, sa ...
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