Où Marie apprend
Datte: 19/08/2024,
Catégories:
f,
fff,
fplusag,
vacances,
voiture,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
Oral
uro,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... tête renversée sur ma fourche lovée…(Je m’égare !)
— Si ces dames souhaitent se rendre compte de plus près… m’entends-je proposer.
— De tactu ? volontiers, rétorque plaisamment Janine.
Marie, tout contre moi, a un petit sursaut à ce mot, mais une caresse de mes doigts dans ses cheveux la calme. Colette a l’obligeance de s’effacer devant ses invitées qui viennent l’une après l’autre examiner à loisir les tétins exposés. Andréa, la première, les soupèse et les presse, Martine les cajole, Janine s’extasie sur leur fermeté, aucune ne résiste au plaisir de tâter et pincer les fraises turgescentes qui couronnent leur globe. Seule Anaïs s’abstient de les toucher.
J’imagine peut-être, mais le corps de Marie me semble être plus chaud. Son souffle, en tout cas, s’est fait plus oppressé. Colette à son tour observe sa poitrine, ses tétons, et sourit.
— Chantal, vous permettez ?
Simple rhétorique : elle n’attend pas mon accord pour prendre les fraises en bouche. Marie se raidit. Elle les suce, Marie soupire. Elle les aspire, Marie gémit. Elle les lèche, Marie frémit. Elle les mordille, Marie râle doucement. Colette se retire, et Marie s’amollit. Sa tête se fait plus lourde sur mon pubis. Je dois la soutenir. Ses aisselles transpirent, un incarnat léger envahit sa poitrine. Examen terminé… pour le haut seulement. Le sait-elle ?
Je l’aide à se lever, la retourne et la prends contre moi. Elle se serre dans mes bras, toute nue et toute émue, le visage empreint d’un ...
... profond trouble. Mes baisers la réconfortent et sa mine s’éclaire. Ma bouche à son oreille murmure des mots tendres. Je sens battre son cœur qui peu à peu s’apaise. Il est temps de poursuivre, elle pour s’exhiber et moi pour la guider.
— Tu es prête, ma puce ? Écarte plus tes pieds. Voilà. Maintenant, penche-toi. Attrape tes chevilles… N’aie pas peur, je te tiens. C’est bien. Ne bouge plus.
Ses fesses épanouies et sa fente entrouverte sont offertes aux regards de quatre femmes expertes. La cinquième a rougi en rencontrant le mien. Et pour cause : Anaïs se souvient de sa propre émotion. Son empathie sincère, sans doute, pour Marie, se teinte malgré elle d’une lubrique envie que ses yeux ont trahie. Mon sourire compréhensif la rassure. Elle ose faire les quelques pas qui la séparent de l’objet du désir refoulé.
Près de moi, Marie tremble. Des mains caressent ses cuisses, effleurant l’intérieur, remontant lentement vers les aines. C’est Colette qui mène l’inspection. Ses doigts dégagent les lèvres et saisissent les longues nymphes qu’ils séparent. Ses narines palpitent, ses yeux brillent, sa bouche s’humecte.
— Quelle jolie chatoune ! Regardez, les filles, les mignons pétales que voilà ! On les dirait dessinés exprès pour être sucés… Et ces petites babines bien gonflées qu’elle a, la coquine ! Tu as joui, ma jolie ? Ta fente est pleine de mouille…
L’index de Colette parcourt l’entaille frémissante, recueille une goutte de suc opalin qui perle paresseusement au bout de ...