1. 2 – Sens dessus dessous


    Datte: 06/08/2024, Catégories: ff, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation lesbos, Auteur: Polyphème, Source: Revebebe

    ... imagination…
    
    Quand ? Ce soir, une fois que tous leurs collègues seront partis.
    
    Où ? Ici ! Dans le bureau de Brigitte ? Sur le bureau de Brigitte ? Ou mieux, dans celui du chef de service, le « patron » ? Dans les sièges bas qui entourent la table basse pour les réunions informelles ? Ou par terre, sur la moquette ? Ou plutôt dans le confortable fauteuil, où, par jeu, en son absence, elle s’assied parfois ?
    
    Et comment ? C’est elle qui va surprendre Brigitte en faisant le premier pas !
    
    Elle imagine.
    
    Elle imagine qu’elle l’enlace, qu’elle l’embrasse. Un baiser passionné, fougueux. Ses doigts dégrafent son pantalon qu’elle lui retire sans ménagement en même temps que sa culotte. Elle la pousse sur le fauteuil et lui relève haut les jambes. Brigitte saisit ses mollets en ouvrant les cuisses.
    
    — Rosa ! Tu me rends folle !
    — Je veux manger ta chatte toute mouillée et boire ta mouille de salope tout excitée…
    — Oui Rosa, oui ! Je suis une salope !
    — Tu es ma salope, ma gouine !
    — Oui, Rosa, je veux être ta salope, et oui, je veux être et je serai ta gouine, ta gouine vicieuse et impudique !
    
    Au bout d’une heure, elle termina en tapant un bordereau récapitulatif de toutes les pièces, y compris les derniers projets des situations.
    
    Fini.
    
    Elle pointa le nez dans le bureau de sa collègue qui avait terminé le courrier qu’elle mettait dans un parapheur et lui tendit une grande enveloppe.
    
    — Qu’est-ce que c’est, fit Brigitte ?
    — Ouvre !
    
    Rosa referma la ...
    ... porte derrière elle et, en même temps que Brigitte tirait un soutient un soutien-gorge de satin rouge et de dentelles noires, elle défit le haut de sa robe. Le « oh ! » étonné de Brigitte devant la pièce de lingerie devint admiratif quand sa collègue ouvrit plus franchement son décolleté pour exhiber sa poitrine dénudée, aux mamelons proéminents.
    
    — Ils sont magnifiques ! s’exclama Brigitte en mordillant instinctivement ses lèvres.
    — Oh, ils sont plus petits que les tiens, répondit Rosa en feignant la modestie et en les soupesant avec une moue sensuelle. Et puis ils commencent un peu à tomber.
    — Tu dis n’importe quoi ! Ils sont beaux, ils sont fermes !
    — Alors ils te plaisent ? fit-elle, mi-ingénue, mi-provocante.
    — Je suis sûre que tu aimes les montrer !
    — Oui… Assez…
    — Et est-ce que tu aimes me les montrer, fit Brigitte, sur le ton de la plaisanterie ?
    — Peut-être…
    — Peut-être plutôt oui ou peut-être plutôt non…
    — On ferme, fit Rosa en pouffant de rire.
    
    Et elle se reboutonna prestement.
    
    Tout le reste de la journée, chaque tête-à-tête fut prétexte à de discrètes provocations mutuelles, ponctuées de rires étouffés. Rosa, particulièrement émoustillée, prenait un incontestable plaisir à exhiber son décolleté en se penchant en avant sous le nez de Brigitte qui en retour ouvrait discrètement son gilet pour exposer la ferme rondeur de ses seins laiteux : il était clair qu’elles étaient toutes les deux sur la même longueur d’onde !
    
    La tension charnelle était ...
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