1. 2 – Sens dessus dessous


    Datte: 06/08/2024, Catégories: ff, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation lesbos, Auteur: Polyphème, Source: Revebebe

    ... extrêmement forte et chaque fois que l’une ou l’autre se retirait aux toilettes, elle retenait à grand-peine l’envie, le besoin… de se caresser. Brigitte, plus encore, plus engagée que son amie, soupesait ses seins libres, flattait du bout des doigts leurs pointes durcies et, fermant les yeux, imaginait la bouche de Rosa, ses lèvres, sa langue, ses dents… flatter, taquiner, agacer ses mamelons, les lécher, les sucer, les mordiller, les mordre !
    
    Mais l’heure tournait et, la journée touchant à sa fin, les deux amies allaient devoir conclure leur jeu. Tous leurs collègues étaient partis et, libérées du regard des autres, elles allaient enfin s’affranchir de tout scrupule et des contorsions auxquelles, pour ne pas éveiller les soupçons, elles s’étaient contraintes toute la journée. Rosa fit un rapide tour des bureaux pour s’assurer qu’elles étaient bien seules. Elle retourna au bureau de Brigitte qui sortait à peine du bureau du patron. Le « quand » et le « où » fantasmés par Rosa prenaient soudain corps dans la réalité.
    
    — Tout le monde est parti, annonça-t-elle triomphalement !
    
    En réponse, Brigitte se débarrassa de son gros paletot et du gilet sans manches, fière d’exhiber sa poitrine somptueuse que voilait à peine les transparences de son corsage : le tissu léger s’accrochait aux pointes durcies et impudiquement dressées, comme pour défier le désir de Rosa qui d’ailleurs, sans gêne aucune, ne perdait pas une miette du spectacle, fascinée par l’excitation voluptueuse ...
    ... de la jeune femme !
    
    — Il n’y a plus personne, assura Rosa, un peu nerveusement, mais plus amusée qu’inquiète.
    — Oui. Les bureaux sont vides ! Et la femme de ménage ne passe pas aujourd’hui, et de toute façon, elle ne passe jamais avant 19 h… J’ai bien aimé notre petit jeu… Et toi ?
    — C’était effectivement assez troublant !
    
    Elle eut un sourire coquin et rouvrant la porte que Brigitte venait de fermer.
    
    — On peut faire une petite pause et s’asseoir une minute ? reprit Rosa en lui faisant signe de l’accompagner.
    — Tu as raison, fit Brigitte qui s’assit dans un des fauteuils bas.
    — Tu aimes mes seins ?
    — Je ne sais pas si je dois te le dire, fit-elle avec un sourire timide.
    
    Et à son tour, elle s’assit, en face de son amie.
    
    — Moi j’aime beaucoup les tiens !
    — Tu ne les as pas beaucoup vus !
    
    Il était vrai que la coupe de sa robe lui permettait d’assez facilement ménager sa pudeur… Brigitte se lança.
    
    — C’est vrai. Tu peux me les montrer un peu plus ?
    — Tu y tiens vraiment ?
    — J’aimerais bien.
    
    Et elle prit ses seins à pleines mains à travers son chemisier, jouant négligemment avec eux, les faisant rebondir assez, une mine gourmande. Une bouffée de désir envahit Rosa.
    
    — C’est un scandale de les garder prisonniers et cachés, souffla-t-elle avec un sourire crispé ! Ils devraient être libres, libres de remuer, de sauter, de bondir et de rebondir ! Et d’être vus !
    
    « Et d’être caressés, embrassés… aimés ! », songea-t-elle sans oser le dire.
    
    Troublée ...
«12...456...»