2 – Sens dessus dessous
Datte: 06/08/2024,
Catégories:
ff,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
lesbos,
Auteur: Polyphème, Source: Revebebe
... pas, s’amusa Rosa… Elle avait l’air plutôt détendue !
— J’imagine, poursuivit Brigitte ! Son mec avait besoin de tirer un coup et…
— Ou bien alors, l’interrompit Rosa, j’ai une meilleure idée !
— Dis !
— Quelqu’un le lui a demandé ! C’est pas toi par hasard ? plaisanta-t-elle ?
Brigitte s’esclaffa et lui demanda d’où lui venait cette idée bizarre.
Rosa songeait à cette scène de L’été meurtrier entre Adjani et son institutrice… Comme Brigitte n’avait pas vu le film, Rosa la lui expliqua par le menu, et précisa que le corsage de l’institutrice était « très, très transparent »…
— Toi, avec ta robe, fit Brigitte rêveusement, tu ne risquerais pas de passer pour une exhibitionniste !
Elle revêtait effectivement ce jour-là une robe d’un coton bleu foncé assez épais, au sage décolleté en V, et entièrement boutonnée sur le devant.
— Si une personne qui m’est chère me demandait ça, fit Rosa d’un air rêveur, je crois que je le ferais…
— Moi, je ne sais pas si j’oserais… Enfin, ça dépendrait pour quoi… et pour qui !
— Et si moi je te le demandais ?
— Tu veux rire ?
— Tu crois que je suis trop sérieuse pour ça ?
— Non, non… Mais je suis surprise…
— Oh, si tu ne veux pas, je comprends…
— Si ! Si ! Pour toi, oui. Si tu me le demandais, je le ferais.
— Sûr ?
— Sûr !
— Alors je te demande.
Brigitte portait un pantalon de cuir rouge, un corsage léger et un gilet sans manches. Elle eut un sourire charmeur, prit l’épais gilet dont elle se couvrait quand elle avait ...
... un peu froid au bureau et se leva. Cinq minutes après, elle revint, rougissante, dans le bureau de Rosa, enveloppée dans son paletot. Elle glissa furtivement la main dans une manche pour en sortir un soutien-gorge de dentelles blanches qu’elle montra à son amie…
— Tu te rappelles ? C’est le Lejaby que tu m’as aidée à choisir…
— Oui, bien sûr, répondit Rosa plus émoustillée qu’elle voulait le faire paraître !
— Alors voilà, fit Brigitte.
Et elle ouvrit son vêtement sur les transparences de son chemisier, laissant apprécier les mamelons roses et manifestement érigés de sa poitrine somptueusement épanouie. Rosa eut un petit « oh » surpris et admiratif, satisfaite et amusée de cette nouvelle séquence, démonstration délicieusement équivoque de la complicité non moins équivoque qui les liait.
— Heureusement que tu as ton gilet !
— Tu ne vas quand même pas me demander de l’ôter, fit Brigitte un peu effrayée ?
— Non, rassure-toi ! On n’est pas au restaurant !
— La prochaine fois qu’on ira manger toutes les deux, je prendrai mes précautions !
Elles rirent toutes les deux.
— Alors ? Quelles sont tes premières impressions ?
— C’est troublant, c’est excitant. C’est agréable.
— C’est agréable parce que c’est excitant ?
— Non ! Enfin, si, aussi. Mais c’est surtout que c’est confortable de ne pas avoir les nich… pardon les seins comprimés !
— Oh, tu peux dire : nichons. Moi je dis aussi : las tetas…
— Las tetas ? J’aime bien…
— Tienes unas tetas magnificas !
— Ce ...