1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... coloniale.
    
    Les Congolais prirent un immense plaisir à regarder son cul si blanc tandis que ses courbes se faisaient profaner par la bite noire du caporal, qui lâcha un râle soudain en lui balançant un gros paquet de foutre dans le rectum.
    
    Laurence continua ainsi de prendre une longue succession de verges africaines dans le cul ou la chatte. Elle aperçut son père et Roger, à genoux et menottés, les pantalons baissés et leurs deux pénis saisis d'une érection majestueuse. Le père regardait par terre, mais ses yeux revenaient sans cesse à la scène du viol prolongé de sa fille.
    
    Un peu plus loin, sa mère et Sophie étaient nues et agenouillées, obligées de lécher et sucer les bites des soldats, devenus nombreux à mesure que l'attroupement grossissait. Ils riaient comme des fous toutes les fois qu'un trait de sperme arrosait l'une ou l'autre au visage.
    
    Laurence gémit comme une brebis saisie par les crocs d'un loup quand on obligea son père à avancer sur elle. Elle continua de gémir tout le temps que son père la posséda, temps qui fut heureusement de courte durée, car le père fut bientôt foudroyé d'un plaisir qui le força à hurler au visage de sa fille, qui pleurait sous lui en recevant ce sperme qui menaçait de la faire mère et sœur d'un même enfant.
    
    Les soldats rigolèrent comme au cirque en buvant de la bière, que quelqu'un avait eu la bonne idée d'aller chercher. Les soldats au sexe repu fumèrent des cigarettes en regardant les épouses et la fille se faire ...
    ... embrocher à la sauce congolaise jusqu'au matin blafard. Nuit d'horreur pour les unes, nuit de réjouissances pour les autres.
    
    Le sergent eut envie de fourrer Sophie, qui avait la jolie trentaine. Elle fut forcée de le prendre au sol, jambes pliées et bien ouvertes. Sophie sentit tout de suite à quel point cet homme était plus fort et vigoureux que son mari; il la prit sans ménagement, la secouant jusqu'à la moelle par ses coups de bélier tandis que ses seins amples bougeaient en fortes saccades sous ce déchaînement.
    
    Sophie jouit en couinant comme une chienne, deux fois plutôt qu'une, avant que le sergent lui envoie sa grosse vinaigrette pour la réchauffer sous le ciel de l'aube.
    
    Pendant ce temps, Joséphine était à quatre pattes, en train de se faire emboutir par Roger, le mari de Sophie, épousée en secondes noces. La troupe trouvait amusant d'obliger l'officier à faire de son ami un cocu. C'était d'autant plus drôle que la femme et épouse n'arrivait pas à s'empêcher de gémir de plaisir en sentant la bite de Roger l'explorer intensément.
    
    Le mari trompé reçut compensation : sa fille dut venir s'agenouiller devant lui. Elle prit sa verge dans sa bouche et, obéissante, elle suça, lécha et massa cette verge paternelle jusqu'à ce qu'elle entende l'homme brisé hurler d'un indicible chagrin mêlé d'un prodigieux cri de jouissance. L'explosion fut gigantesque; la fille reçut une douche de sperme sur les seins, le tout sous les applaudissements nourris des mutins.
    
    Plus tard, les ...
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