Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... voulu se garder vierge pour Rémi, le fils de Roger qui gisait à demi inconscient non loin de là. Elle avait prévu accéder à ses demandes, car elle le savait sincère et honorable. Elle avait rêvé de la nuit de noces où elle se donnerait enfin à lui, et il l'aurait à lui, tout entière, pour toujours; et elle l'aurait, lui...
Ce rêve de virginité offerte au soir des noces fut brisé brutalement par la grosse bite du sergent, qui ria bien fort quand il sentit comme elle avait la chatte mouillée de s'être fait sucer les seins par la troupe.
Rémi vit l'horreur de son seul œil ouvert quand le sergent entra en Laurence et commença à la violer, debout et lui empoignant puissamment le dessous des cuisses tandis que les soldats lui tenaient les bras et d'autres continuaient de lui caresser la poitrine.
Maintenue tout contre le corps massif du sergent, Laurence fut éperonnée à répétition par sa grosse bite. Au début, la douleur fut cuisante, insupportable, puis les coups de boutoir devinrent étrangement agréables à recevoir pour son corps, mais horribles pour son esprit.
Fascinée, Laurence n'arrivait pas à fermer les yeux; elle regardait sans cesse le large visage sombre du sergent Kongolo, qu'elle connaissait de vue et de nom. Son nez épaté, ses lèvres charnues et l'ivoire de ses dents attisaient son plaisir sauvage pendant qu'il la violait comme un taureau en laissant échapper de forts grognements.
Les mains sur ses seins et les remarques grivoises des soldats, qui ...
... lui disaient tous comment ils allaient la violer, achevèrent de rendre son corps fou de plaisir, tandis que le sergent la labourait de ses solides coups de bélier.
Laurence cria et jouit très fort au milieu des soldats; son corps l'obligea à serrer le sergent dans l'étau de ses jambes en pressant son sexe contre lui pour le prendre bien profond en elle. Les soldats lui dirent en riant qu'elle était la pire salope blanche de Camp Hardy.
Elle aperçut sa mère Joséphine se faire violer en missionnaire, à côté de Sophie, que d'autres mutins tenaient presque à l'envers : un caporal la violait en lui soulevant les hanches tandis qu'elle était maintenue au sol, les épaules à plat. Puis, ce fut le sergent qui lâcha un juron victorieux en déversant une formidable quantité de sperme bien chaud dans Laurence. La vierge devenue femme lâcha un long braillement en recevant cet hommage à sa jeune beauté.
Un autre soldat la prit de la même manière. Il conclut l'affaire en peu de temps. Laurence gémit en recevant sa semence. On la mit par terre, puis plusieurs hommes se succédèrent rapidement, l'enfilant en missionnaire à petits coups de bite rageurs. Elle fut ensuite mise à quatre pattes, violée de nouveau par le sergent, puis enculée par un caporal, qui fit ce qu'il avait annoncé plus tôt.
La jeune fille cria de douleur comme une âme perdue pendant qu'il la sodomisait en la traitant de salope bourgeoise et en lui répétant qu'elle devait payer pour quatre-vingts ans de violence ...