Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... seins de jeune fille née à Gand apparurent sous les faisceaux des lampes de poche. Ses mamelons durcirent au contact de l'air frais, rehaussant la splendeur apeurée des seins en mouvement.
Les sifflements et les remarques fusaient dans la soldatesque...
« Oh, elle a de vrais beaux nichons, la petite Laurence! »
« Allez les gars, on va tous la violer, cette petite chipie! »
« J'ai hâte de voir son joli petit cul de Blanche! »
« Arrachons-lui son pantalon... »
« Hé, ma pouliche, fais voir ton joli petit cul... »
« Et moi, foi de caporal Banza, je vais l'enculer devant son père! »
« Je parie qu'il va aimer voir ça, le gros cochon! Et si on l'obligeait à violer sa fille? »
« Ça, ce serait chouette! »
« Allez vous autres, fermez vos gueules et déshabillez-moi cette trainée! » conclut le sergent.
Déjà, les deux épouses belges, Joséphine et Sophie, étaient allongées par terre.
Les soldats avaient précipitamment monté la jupe de Joséphine et lui avaient retiré sa petite culotte afin de voir si elle avait beaucoup de poils, qui seraient assurément foncés puisque Joséphine était une brune. Les rires gras et sifflets fusèrent quand on découvrit sa jolie touffe, qui formait un triangle net et invitant pour les soldats. Comme elle avait de tout petits seins, ils lui laissèrent son chemisier intact et commencèrent à la violer à tour de rôle.
Sophie, qui avait la poitrine plutôt généreuse, eut le chandail lacéré de la lame d'un couteau, puis ...
... brutalement déchiré. Un gros soldat, qu'elle connaissait depuis sept ans, et qui était si bon et gentil d'ordinaire, lui arracha brutalement le soutien-gorge et plongea sa tête de nègre entre ses deux seins, qui formaient deux petites collines de chair, bien rondes, surmontées de mamelons aux larges aréoles, qui disparurent bien vite sous la bouche et les mains du gros soldat aux yeux ébahis. La beauté de ses seins lui valut un sursis de quelques minutes, avant qu'elle fût mise toute nue et violée sauvagement. La bite du gros soldat finit par la faire jouir.
Mais c'est Laurence, la fille, qui avait surtout la cote. Maintenue debout au milieu des soldats, elle ne put réprimer un couinement d'excitation secrète lorsqu'elle sentit les lèvres charnues et les mains d'ébène se poser sur ses petits seins fermes. L'adolescente savait que son père et Roger la regardaient se faire déshabiller, elle protestait et suppliait qu'on ne lui fasse pas violence, mais les langues de soldats congolais sur ses petits mamelons pâles lui arrachaient de criants halètements qui lui valurent le titre officiel de salope blanche.
Elle avait mis un pantalon blanc lui descendant à mi-mollets. Elle sentit l'air nocturne et frais lui caresser les pieds nus quand la brise souffla sur la scène de déshabillage qui marquait la fin de sa vie de jeune fille.
Elle commença à pleurer comme une Madeleine quand le sergent, un grand gaillard bien bâti, lui ôta rapidement son pantalon et sa petite culotte. Elle avait ...