Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... pressait les seins et fixait sa petite culotte bleu pastel, jouissant d'avance du bonheur de découvrir son sexe de vierge.
La mère braillait et invectivait les hommes à pleins poumons, les traitant de sales nègres pourris et de déchets humains.
« Au moins, la maman nous qualifie d'humains; c'est déjà ça! » fit un sergent en giflant Béatrice à toute volée.
« Allez, la maman, reste tranquille et vois à quel point ta fille plaît au régiment! » renchérit un lieutenant promu deux jours plus tôt.
Criant sa joie tropicale, le major Ilunga arracha la petite culotte d'Anne et découvrit sa magnifique toison noire, qui frétillait comme un triangle de jais perdu au milieu de ses hanches tandis que la jeune fille en panique continuait de gesticuler, déjà avec l'énergie du désespoir.
Ses hanches étaient étroites, mais sa taille était tellement menue que les proportions étaient idéales. Anne ne se rendait pas compte à quel point elle était belle.
« Enfin! Enfin! » grogna le major Ilunga en baissant son pantalon d'uniforme. Anne hurla et perdit la raison en apercevant cette bite toute grosse et dure, et horriblement foncée.
« Ma fille! Ma fille chérie... Vous êtes tous des monstres! Vous serez tous fusillés... Aïe! »
« Ta gueule, la maman! Des Blancs ont violé ma petite sœur et personne n'a levé le petit doigt pour elle. Vous les Belges, vous avez tout ce que vous méritez! » répliqua le lieutenant après avoir giflé Béatrice.
« Habitue-toi, la mère pute! On va ...
... tous passer sur ta fille; il y en a pour des heures! »
Les Congolais de la Force publique écartèrent tout à fait les jambes d'Anne, offrant à leur chef de meute une vue imprenable sur l'entrée de sa virginité. Elle avait les petites et grandes lèvres couleur corail, le tout parfaitement souligné par sa toison noire.
Le major Ilunga adorait la vue de ce buisson intime qui formait un triangle parfait. On fit remarquer qu'Anne ressemblait beaucoup à l'actrice américaine Ann Blyth.
L'officier commandant ne s'embarrassa pas de préliminaires. Il enduit son pénis d'une bonne dose de sa salive, s'avança entre les cuisses d'Anne, qui hurlait sa détresse à tout rompre. Tel un fou-furieux, il poussa sa porte intime pendant qu'elle poussait les hauts cris d'une résistance à présent symbolique.
Bandé comme un gorille alpha, le major Ilunga lâcha un immense cri de triomphe en sentant qu'il commençait à pénétrer Anne LeBlanc, qui ne comprenait toujours pas ce qui lui arrivait.
En proie à la pire douleur de sa vie, la jeune fille se sentait vaguement fière d'être comparée à une actrice américaine; elle-même trouvait dans son for intérieur qu'elle ressemblait à Ann Blyth. Mais elle se sentait complètement écrasée par la réalité incompréhensible dont elle était à présent le jouet.
Anne sent la cuisante chose dure qui lui étire le vagin à la fendre en deux! Elle n'entend même plus les rires et les quolibets anti-blancs des hommes qui la tiennent plaquée sur cette table où elle a ...