Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... sous sa jupe.
Puis, il donna l'ordre terrible :
« Tenez bien la mère pour qu'elle admire le spectacle. On va violer sa fille! »
« Non! Noooon! Vous n'avez pas le droit! Pas Anne! Pas ma petite Anne! Prenez-moi à la place! Aaahhhaaaaahhhhaaa... Rhhhaaaaaaahhhhhaaaaaaaaaaaa! Mon bébé... Ma petite Anne! Non... »
Béatrice braillait comme une folle; elle perdit la raison tandis qu'elle assistait, impuissante, à la scène impensable.
Des soldats au sourire mauvais soulevèrent comme une plume la jeune fille, qui ne mesurait qu'un mètre cinquante-six. Portée par les nègres en uniforme, Anne criait à tue-tête : « Maman! Maman! Maman! Maman! Maman... »
Les yeux pleins de larmes et d'incrédulité, Anne regardait tous ses visages de nègres qui semblaient se gausser de sa terreur. Ils semblaient même fiers de leur coup. Elle fut embrassée de force par un caporal à l'haleine de bière; tel fut son tout premier baiser. Son rêve de premier baiser avec le beau Louis fut ainsi fracassé par la bouche du nègre. La jeune fille hurla de tout son corps, secouée de sanglots en songeant au garçon qu'elle aimait. Elle aurait tant voulu être à lui, juste à lui!
L'autre major congolais fit signe de tête vers la table de la salle à manger. La table en bois fut balayée d'un puissant revers de la main qui envoya valser deux tasses vides avec leurs soucoupes, qui se brisèrent sur le plancher de céramique. Le sel et le poivre tombèrent aussi comme deux tours de bois capturées par des ...
... pions noirs.
« Non! Naooon! Maman! Papa! Naoooon! Non! » cria Anne en pleurant tandis qu'on la déposait sur la table.
Elle se tortillait comme une folle dans les mains de ses ravisseurs. Le major Ilunga se rua sur elle, empoigna sa blouse vieux rose et la déchira sauvagement, faisant hurler et la mère et la fille d'horreur et de frayeur. Les boutons sautèrent et tombèrent tandis que le major découvrait férocement le soutien-gorge de l'adolescente.
Salivant abondamment, le major Ilunga empoigna le devant du soutien-gorge et l'arracha en poussant un grand râle de satisfaction sauvage, découvrant les seins immaculés de la jeune fille, dont les petits mamelons dansaient la sarabande tandis qu'elle pleurait et hurlait...
« Non! Arrêtez! Stop! Je vous en supplie! No-oooon! Maman! Maman! »
Anne hurlait à tout rompre, tentant convulsivement de se dégager, mais ses bourreaux riaient d'elle. Ils lui plaquaient les bras et le dos sur la table et serraient ses petits poignets bien fort, lui faisant mal par leur poigne d'acier.
Elle hurla encore plus fort, faisant vibrer le lustre au-dessus d'elle, tandis que le major Ilunga, les yeux fous, dégrafa la petite ceinture d'Anne avant d'empoigner sa jupe et de la lui ôter brutalement, découvrant ses jambes toutes fermes, d'un galbe parfait et d'une blancheur aussi immaculée que ses seins.
Les nègres bandaient comme des fous en admirant ses jambes et ses pieds d'adolescente. Anne hurlait à tout rompre tandis que le major lui ...