Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... pris tous ses repas depuis toujours. La voix de sa mère qui crie n'est plus qu'une clameur lointaine, ténue.
Elle a franchi le mur, le mur de l'impensable. Les Congolais sont des hommes; elle le savait. Ils ont des pénis. Elle n'a jamais voulu songer à cette réalité non dite : ils ont des pénis et peuvent donc physiquement la pénétrer et l'emplir de leur sperme.
« Non! No-oooon! Nnaahhaaahhaaaa... Rhhaaa-aaaa-aaaaaah... aaaahhaaaaaaaaa... AAAAhh-aaaa... aaaaaaa... aaaaaaa... »
Anne, le visage baignée de larmes, braille toute son âme déchirée pendant que le major crie haut et fort son triomphe et lui impose avec joie le va-et-vient du coït forcé. Sa jolie tête glisse sur la table, dans ce même va-et-vient, tandis qu'elle continue de hurler comme une folle.
Soumise à ces coups de boutoir impensables, le dos toujours habillé des restes de sa blouse vieux rose et glissant sur la surface lisse de la table, la demoiselle incrédule sent l'officier nègre lui enserrer la taille tandis qu'il la viole sauvagement. Sa virginité dévorée par l'incendie de douleur, elle secoue la tête frénétiquement dans son refus symbolique. Elle refuse l'impensable; elle refuse d'accepter qu'elle est à présent violée par les soldats congolais. Déflorée. Le mot s'impose malgré elle.
Autour d'elle, on crie, on vocifère, on encourage le violeur. Des êtres horribles la tiennent et l'empêchent de bouger. Elle voit quelque chose comme un lustre, vaguement familier, qui va et vient dans son ...
... champ de vision, à travers le voile de ses pleurs. Une femme crie au loin; qui est-elle? Elle semble crier « Anne, Anne... Anne ma chérie... » cette femme est en sanglots. Qui est-elle? Et qui est cette Anne qu'elle appelle au milieu de ses lamentations?
« Allez major, bourre-la! Montre-lui ce que c'est que le Congo indépendant, à cette petite gourgandine! »
La troupe encourageait le major dans un concert de vociférations, criant « C'est bien fait! » justifiant ainsi le vil assouvissement de leurs bas instincts.
Les Congolais avaient raison. Leur nouveau pays était tout aussi indépendant que les États-Unis ou l'Union soviétique, dont les soldats avaient violé en masse les Allemandes, tout comme les soldats allemands avaient violé des Belges, des Françaises, etc., etc., et surtout des filles russes.
Le Congo prenait sa place au sein des nations. Violer en masse est le privilège des nations souveraines.
Les soldats promirent à Anne d'y aller doucement avec elle en lui tenant chevilles et poignets. Il s'agissait simplement de la violer, et elle verrait que ce serait un bon moment qu'elle passerait à tâter de la bite congolaise.
Le major Ilunga haletait à tire-larigot tandis qu'il violait Anne avec frénésie. Il sentit l'immense raz-de-marée monter dans son bas-ventre et empoigna la jeune fille convulsivement quand il sentit l'instant suprême arriver.
Il cria... « Aahhh, Anne LeBlanc! » Il sentit avec bonheur la chaleur perverse de ses traits épais. Son pénis ...