1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... aucun contrôle, plus aucune protection pour les Blancs à Camp Hardy. Tous les soldats s'étaient révoltés et assouvissaient leur soif de vengeance et leurs désirs les plus tabous aux dépens des femmes et filles de leurs officiers.
    
    Elle était soulagée de constater que les soldats ne s'étaient pas donné la peine d'emmener les maris et les pères sur le site des viols. Elle serait morte de honte que son père la voie ainsi. Fabrice « le baobab » lui tenait la taille bien serrée tandis qu'il la martelait toujours de son énorme bite.
    
    Il adorait contempler les fesses de Juliette tandis qu'il lui défonçait l'anus en la faisant hurler son agonie. La plupart des soldats contemplaient cette furieuse sarabande en se masturbant. On se demandait à qui était le tour suivant.
    
    Fabrice « le baobab » sentit sa marmite exploser. Il cria son sentiment de révolte et africanisa Juliette à gros traits de semence chaude et épaisse, puis sortit d'elle en lui badigeonnant le cul d'un généreux coup de sirop gluant. Il conclut en faisant observer que Juliette LeBlanc était plus étroite et meilleure à baiser que Léonie la colonelle.
    
    Ce fut ensuite un adjudant dans la cinquantaine qui la viola en buvant des yeux sa nudité surréelle, laquelle abrégea grandement son temps de jeu.
    
    Tandis qu'elle recevait son pénis par l'arrière, elle remerciait mentalement son violeur de lui labourer le vagin, allégeant de beaucoup son supplice. L'adjudant beugla comme un goret et éjacula comme un jeune ...
    ... homme.
    
    Elle ne protestait plus, ne cherchait plus à résister; elle recevait la fureur et la sève des mutins en leur offrant son derrière, le visage plaqué et glissant sur la table dont la surface lui devenait familière à outrance.
    
    Le colonel Bobozo et le capitaine se l'offrirent à nouveau. À ce stade, la jeune fille, hébétée, prenait les bites en silence et ne savait même plus qui la violait.
    
    Dans la chambre, les nègres gardaient Virginie à genoux et s'amusaient à l'obliger à sucer toutes les bites qui l'encerclaient, et il y en avait beaucoup. Ses lunettes furent complètement couvertes de sperme congolais. Ils l'avaient mise toute nue en lui laissant ses sandales, qu'ils trouvaient très érotiques. Ils s'amusèrent ensuite à la mettre à quatre pattes pour lui lécher le cul et la forcer à jouir encore en lui explorant la chatte de leurs doigts habiles.
    
    Dans la salle de séjour, Martine était en tenue d'Ève; les hommes l'arrosaient de bière de banane et s'amusaient à lui lécher les fesses, les seins et tout le reste de son anatomie, jusqu'à ses petits pieds de fille, qui firent le délice de deux ou trois soldats dont c'était l'obsession. L'un d'eux éjacula même sur les pieds de Martine.
    
    Le colonel Bobozo connut l'indicible satisfaction de monter Juliette par derrière, comme un étalon, en pressant ses fesses de lycéenne entre ses mains brun terre. Il la secoua d'un furieux va-et-vient, empoignant sa taille fine et la tirant tout entière contre lui pour intensifier le coït. À ...
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