1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... avec qui elle avait échangé un doux regard dans un bref instant de passion innocente arrachée à cette tempête de violence politique.
    
    Quand ce fut le tour de ce bel éphèbe, Juliette sentit que c'était différent. Elle tenta d'oublier l'horreur ambiante et sentit son corps réagir avec force quand ses mains se posèrent sur elle, et ne put réprimer un jappement de plaisir quand elle sentit sa fougueuse verge entrer en elle.
    
    Juliette l'enlaça dans l'étreinte de ses jambes. Secouée sur la table en folie, elle s'abandonna à ses puissants coups de bélier qui la faisaient gémir de plaisir. Elle disait « Non... Non... » C'était un réflexe machinal. Il la prenait comme un étalon, tout penché sur elle tandis qu'elle l'embrassait et lui passait ses bras autour du cou. La table grinçait sans cesse, peinant sous leur poids. Bientôt, elle fut prise de violents soubresauts et cria sa jouissance, peu de temps avant que le jeune homme suive son exemple et la fasse complètement défaillir par la douce chaleur de son sperme.
    
    C'était lui, l'homme qu'elle avait choisi. Elle pleura à chaudes larmes son bonheur perdu en sentant ses ultimes caresses sur ses seins et ses hanches tandis qu'il était bien obligé de la quitter. Il ne serait jamais son amant.
    
    Ce fut ensuite un sergent de quarante ans qui la fit mettre debout et pencher en avant, ventre sur la table. Tous admirèrent ses fesses, qu'elle avait bien fermes et d'une largeur surprenante. Sa blancheur alimentait leurs érections, qui ...
    ... la cernaient. Le sergent saisissant ce cul magnifique et la viola par derrière en caressant le satiné de sa peau si claire. Il fut vite vaincu par ses courbes de fille européenne et ajouta son sperme frais à la somme impressionnante des offrandes précédentes.
    
    Juliette commençait très confusément à comprendre ce que c'était qu'un viol collectif en temps de guerre. Et sa sœur... Anne! Elle aussi était en train de déguster trois maisons plus loin. Le régiment nègre dévorait tout le pâté de maisons.
    
    Le soldat suivant décida de la prendre dans l'anus. Juliette sentit les ressorts de sa douleur forcés au-delà de tout ce qu'elle avait connu. Elle cria à en perdre la raison. Ça faisait si mal! Le beau jeune soldat voulut s'interposer, mais on le retint. L'amoureux transi assista au viol anal en pleurant.
    
    Juliette braillait son martyre sous la puissante étreinte de ce soldat de première classe qu'on surnommait le baobab en raison de sa bite gargantuesque.
    
    Au milieu de ses grognements de rut tropical, Fabrice « le baobab » cria à tue-tête à quel point c'était bon de violer Juliette LeBlanc, et il annonça en lingala que ce soir, il irait violer Anne afin de savoir laquelle des deux sœurs avait le cul le plus serré. Il fut acclamé par des voix qui, en lingala aussi, lui promirent de l'y accompagner.
    
    Juliette pleura d'horreur en entendant ce rappel du supplice enduré par sa sœur au même moment; elle le savait, Anne servait elle aussi de pâture aux mutins. Il n'y avait plus ...
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