Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... chaque secousse, le colonel sentait délicieusement les fesses de Juliette donner contre son giron. Ah, comme c'était bon! Juliette, impuissante et épuisée, subissait passivement ce barrage d'artillerie tandis qu'il grognait de plus en plus fort.
Enfin, il lâcha un juron, cria comme un perdu et l'inonda de sa deuxième éjaculation : un gros paquet dont le volume étonna même le colonel.
Bien d'autres soldats suivirent l'exemple du colonel. Juliette fut encore violée par derrière par un cortège de mutins, qui prirent un indicible plaisir à imprimer leurs mains dans la blancheur de sa taille en admirant le spectacle irréel de ses belles fesses, toutes secouées de leurs grands coups de boutoir!
La mutinerie était totale; ils étaient les maîtres de Camp Hardy. Toutes les filles blanches y passaient!
Juliette couinait et haletait comme une chienne. Secouée contre la table, les cheveux en débandade, elle fit écho aux râles des hommes en jouissant plusieurs fois; elle les reçut tous comme une vraie salope blanche. Ils la récompensèrent en la remplissant à gros traits fumants. Certains se retiraient au moment suprême pour voir leur sperme humilier la fille belge. Les fesses de Juliette LeBlanc furent bientôt tout enduites de semence congolaise.
Après, longtemps après, quand le soir fut venu et qu'ils l'eurent escortée à la salle de bains, faisant de même avec leurs deux autres captives, les officiers lui dirent qu'elle pouvait se reposer un peu en s'agenouillant pour ...
... tous les prendre dans sa bouche. Ils lui donneraient ensuite à souper si elle se conduisait bien.
Obéissante, la jeune fille nue, complètement épuisée, se mit à genoux au milieu de la cuisine en leur offrant le spectacle, à présent familier, de son éblouissante nudité. La troupe ne se lassait pas d'admirer ses belles formes, tellement pures et gracieuses, avec ses magnifiques cheveux longs et lisses, noir corbeau; une chevelure qu'ils prirent grand plaisir à flatter de leurs mains tandis qu'elle leur faisait la fellation, un après l'autre, en regardant fixement son client de ses beaux yeux de porcelaine.
Le colonel Bobozo était parti, ce qui fut un immense soulagement pour Juliette, qui suça une bonne trentaine de bites congolaises, par ordre de grade et d'ancienneté; elle descendit des capitaines et lieutenants jusqu'aux caporaux et soldats, puis aux recrues plus jeunes qu'elle, en passant par quelques adjudants et sergents grisonnants.
Chacun y alla de son style personnel.
D'aucuns la laissaient aller à son rythme en lui flattant doucement la chevelure, savourant le confort humide et serré de sa bouche qui allait et venait de concert avec sa jolie tête... jusqu'au moment final où l'homme, foudroyé de plaisir, lâchait un râle et lui tirait ses gros traits de semence dans la bouche ou en plein visage. Quelques-uns déversèrent leur sperme sur ses seins. Un original la contourna d'urgence et déchargea un gros paquet fumant sur ses pieds.
D'autres lui saisissaient la ...