1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... sous sa blouse, dont le turquoise s'agençait parfaitement avec la blondeur de ses cheveux et l'or plaqué de ses lunettes en cercles. Sa robe, retroussée bien haut, laissait voir la toison châtaine de son sexe, d'où s'écoula le sperme frais de son premier viol; le premier d'une longue succession.
    
    Au deuxième viol, un jeune lui demanda « si Madame aimait ce joli carrousel », tandis qu'un vieux briscard, qui devait fantasmer sur les Blanches depuis trente ou quarante ans, lui déchira brutalement la blouse pour ensuite lui arracher le soutien-gorge et découvrir avec émerveillement la beauté lactée de ses seins, qu'elle avait de taille moyenne avec des mamelons tout pâles, chose typique chez les blondes naturelles.
    
    Au troisième viol, elle criait encore â tue-tête pendant qu'on ouvrait toute grande sa blouse déchirée, qui dès lors battit à ses flancs sous la tempête beuglante.
    
    Le caporal sentit la fermeté de ses cuisses sous ses mains profanes; il cria « Victoire! » et jouit à gros traits en regardant ses seins découverts ballotter au milieu des nègres qui la tenaient et adoraient la voir si fermement secouée par leurs gros coups de verge, avec ses poings gantés de blanc qui s'agitaient sans cesse, aussi élégants qu'impuissants. Au début du quatrième viol, lorsqu'elle sentit la grosse bite du vieux soldat -- celui-là même qui lui avait découvert les seins -- Virginie capitula et poussa un long cri de jouissance forcée, tandis que le vieux congolais, la salive écumant sa ...
    ... bouche, fut vite forcé de capituler. Il sortit d'elle et cria sa jouissance en admirant ses jets de sperme dessiner une trajectoire majestueuse avant d'aller inonder tout le pourtour du nombril de la jeune prof de français, qui portait toujours ses lunettes.
    
    Puis, elle reconnut les deux jeunes soldats, grands gaillards, qui lui avaient barré le chemin à sa porte. Elle jouit très fort dans leurs bras quand ils lui firent sentir la fougue de leur prime jeunesse. Elle pleurait de honte, fatiguée, tout en sueur, sa belle robe d'été en lambeaux et les cheveux tout en désordre, tandis qu'ils la possédèrent chacun son tour, le plus grand en premier.
    
    Mais le second gaillard était grand aussi; il la secoua comme un prunier belge en la pilonnant de sa bite dure comme un baobab, avant de fixer du regard ses seins en mouvement et de lui lâcher ses longs traits de sperme bien chaud.
    
    Dans la cuisine où les mutins la tenaient étendue sur la table, Juliette subissait le pire cauchemar aux mains du colonel Bobozo.
    
    Après des préliminaires qui durèrent très peu de temps pour celle qui en redoutait la fin, le colonel Bobozo avait le pénis énorme et dur comme le tronc d'un cocotier.
    
    Elle hurla à s'en briser la voix quand le gros colonel lui écarta les jambes, maintenues aux chevilles par les soldats, et lui annonça qu'elle allait être une putain belge pour les trois prochains jours. Puis, il poussa son érection contre son orifice, et jura, car Juliette contractait ses muscles, et ...
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