1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... possédé jusqu'à ce que sa bite explose et qu'il lui tire ses gros traits juteux dans la bouche ou en pleine figure. Ses fesses larges étaient martelées en règle par la soldatesque, qui prenait officiellement possession d'elle. Dans l'esprit du Congolais, ça signifiait prendre son vagin. Il y avait quelque chose de solennel dans le viol initial d'une Blanche.
    
    La porte d'entrée restait grand ouverte et les démons en uniforme qui se pressaient dans la maison faisaient le salon noir de monde.
    
    La plus grande horreur pour Martine, c'était de savoir que Virginie et Juliette avaient droit aux mêmes honneurs ailleurs dans la maison, dont les murs résonnaient de leurs cris perçants. « Pauvre Juliette! Et dire qu'elle était vierge... » pensa Martine, à tort, en fermant les yeux alors qu'un grand gaillard lui balançait son éjaculation au visage en même temps que l'autre lui emplissait le vagin en jouissant à gros traits.
    
    Puis, elle cria de douleur. Elle sentit l'étreinte devenir plus pénible encore; on lui annonça que c'était maintenant l'heure de la fouille anale.
    
    Et la troupe se mit à scander « Dans l'cul! Dans l'cul! Dans l'cul... » pendant que Martine râlait de douleur parce qu'un soldat lui pulvérisait le rectum en s'émerveillant de la beauté de ses fesses toutes pâles et lisses, si vastes quand on les admirait de près, et qu'il tenait et pressait tandis que son membre l'embrochait à répétition.
    
    Dans la chambre, Virginie criait comme une folle. On ne s'était pas ...
    ... donné la peine de la jeter sur le lit, ni même de la déshabiller. Les nègres en uniforme la tenaient bien haute au milieu de leur masse vociférante, et ils la prenaient à tour de rôle, debout, en la tenant à l'horizontale après lui avoir retroussé sa robe d'été turquoise et déchiré sa petite culotte. Ses mains toujours gantées de blanc formaient de petits poings de fille qui s'agitaient dans leur impuissance convulsive.
    
    Virginie eut très mal au premier viol, si soudain, mais son corps de jeune fille réagit rapidement aux assauts. Elle fantasmait toujours sur les nègres, et même si la réalité du viol n'avait rien à voir avec ses rêves érotiques, elle sentit une étrange excitation d'être ainsi tenue au milieu de tous ces jeunes hommes -- elle en compta six -- sans qu'aucune partie de son corps ne touche à terre.
    
    Elle se faisait violer tout habillée! C'était un autre de ses fantasmes.
    
    « Non! Non! Non! » criait-elle en leitmotiv, plus contre son propre corps qui s'excitait honteusement que contre les soldats qui la tenaient et l'obligeaient de subir leurs verges brun sombre. Elle songea que la même scène avait dû se dérouler cent ans plus tôt, en Géorgie ou en Caroline du Sud, quand une compagnie noire mettait à sac une plantation sudiste. Elle pouvait s'imaginer dans la peau de la jeune fille blonde violée par la troupe dans un riche salon, sa belle robe turquoise mise en lambeaux.
    
    Le premier soldat jouit très fort en admirant les formes de ses seins, toujours à l'abri ...
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