1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... elle était vraiment très étroite.
    
    Juliette pleurait et sanglotait convulsivement. Elle n'arrivait pas à comprendre l'étendue de cette horreur qu'aucun mot ne pouvait décrire. Cet homme était gras et laid, et bien trop vieux; il était dégoûtant! Rien à voir avec ses fantasmes de jeune fille peuplés d'adonis comme ces merveilleux athlètes afro-américains dont elle possédait une panoplie de photos qu'elle gardait bien cachées. Sa préférée était celle de John Davis nu, prise en 1940 à l'époque où le champion du monde d'haltérophilie des mi-lourds avait 19 ans, portait une fine moustache et faisait 1 mètre 74 pour 82,5 kilos d'Apollon foncé.
    
    Les soldats lui faisaient mal aux tympans avec leurs vociférations. Ils lui faisaient mal aux chevilles, aux poignets surtout, en la serrant trop fort. Le colonel l'embrassa sur le ventre, puis lui licha les seins en lui promettant qu'elle allait adorer le recevoir en elle quand il viendrait à bout de sa résistance vaginale.
    
    Beurk! Il était si vulgaire! Son haleine empestait le brandy et le cigare bon marché. Elle continua de brailler et de hurler son désespoir, secouant la tête avec violence, dans un ultime geste de refus impuissant, quand le colonel eut finalement raison de sa porte; il poussa un grand rugissement en la pénétrant, enfin, savourant à quel point c'était serré!
    
    Sentant son pénis massé agressivement par cette étroite intimité humide, le colonel Bobozo se sentit vaguement coupable en songeant à sa propre fille, qui ...
    ... avait à peu près l'âge de Juliette, puis il écarta toute pensée rationnelle et se laissa aller au viol. Comme c'était bon de s'accoupler avec la fille belge!
    
    Il goûta ses pleurs avec un plaisir carnassier et la viola furieusement, faisant grincer la table et agitant la jeune fille comme un fétu de paille contre sa masse bedonnante, grognant comme un cochon de savane et laissant de la salive s'écouler de sa bouche haletante. Secouée sans cesse sur la table grinçante, Juliette détournait son doux visage et fermait les yeux pour ne plus voir le gros visage de son violeur.
    
    Surtout, elle avait mal, mal de se faire labourer par cette bite de géant, mais elle ressentait une légère et confuse excitation d'entendre le colonel grogner aussi sauvagement et surtout, de sentir ses grosses mains de nègre qui lui étreignaient la taille, qu'elle avait toute fine et gracieuse.
    
    Lui se cramponnait à cette baise surréelle, secouant la fille de ses coups de bélier répétés avec urgence et admirant ses seins tout blancs qui battaient la mesure. Sa jeune poitrine était radieuse de beauté taboue dans cette position allongée. Le régiment congolais se mariait avec elle; le viol par son colonel était le rituel obligé.
    
    Sentant son plaisir culminer, le colonel Bobozo contempla intensément ses beaux tétons tout agités dans cette tempête de chair européenne et lâcha enfin son cri guttural en libérant de gros traits de sperme épais. La jeune fille, le visage baigné de larmes, reçut la décharge en ...
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